Sous le grand châtaignier.
Ami ouvre les yeux, sais-tu ce qui m’attriste ? Que mes contemporains, si peu te voient vraiment. Pourtant tu es d’abord et aussi sûremen...
Ami ouvre les yeux, sais-tu ce qui m’attriste ? Que mes contemporains, si peu te voient vraiment. Pourtant tu es d’abord et aussi sûremen...
Je me suis réveillé ce matin bien trop tôt Les aiguilles me disaient retourne au dodo J’ai en moi une horloge qui m’indiquait pourtant Q...
Un horizon lointain à la ligne imprécise Dans ces confins qu’estompent de grandes masses grises Que des oiseaux immenses à grands coups d...
Quel orgueil de prétendre tout raconter du monde Juste par quelques mots que l’on offre à la ronde. Et pourtant, de tous temps, le poète ...
Quand l’orage tonnait par dessus la maison Peureux, me réfugiais dessous un édredon, Au risque d’étouffer au sein de ce cocon Pour ne ...
Nous te disons bye bye et sans regrets octobre Sais-tu bien que tu pars tout penaud sous l’opprobre T’as sévi cette année avec tant d’inc...
J’en connais, c’est ainsi, qui aiment être seuls Je ne veux pour moi l’être qu’au sein de mon linceul. Je ne suis solitaire, j’aime être...
Par pure bienséance ou vraie bienveillance Je m'apprête en fait à leur faire confiance À leur accorder foi, à leur donner leur chance Pou...
Elle ne nous quitte pas toujours tapie dans l’ombre La peur, une compagne hélas bien trop fidèle Toujours quoiqu’on le nie, elle naît de...
Lorsque gronde l’orage il réveille en nous Cette peur primitive qu’ont toujours ceux de nous Que les foudres du ciel sur un coup de tonne...
Dans la spirale des questions sans réponse Hommes déboussolés et en quête de sens Vous êtes obstinés et aucun n’y renonce Nul ne se sati...
Quand j’étais écolier, je partais en vacances C’était mer ou montagne, alors dans la balance On partait à la gare prendre le train du pla...