Les orgueilleuses.
Publié le 03 août 2025
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Avez-vous déjà vu Venise et ses gondoles
Y avez vous glissé au son des barcarolles
Éprouvé la tristesse d’un endroit qui se meurt
Oui la ville s’affaisse, y a de quoi avoir peur.
Cette cité sublime montée sur pilotis
Sombre dans sa lagune, ce petit à petit
Et la montée des eaux transforme en marécage
Une ville historique de plus de mille ans d’âge.
Il n’est d’éternité pour les choses terrestres
Elles naissent, grandissent et enfin disparaissent
Vois les cités mayas ou les temples aztèques
Les pharaons d’antan, les australopithèques ?
Ainsi sera Venise dans peut-être cent ans
Nouvelle Atlantis au destin fascinant
Qui domina le monde à un certain moment
Puis plongea dans la nuit que recouvre le temps.
Seront lors entendus comme de grands témoins
Ceux qui virent Venise dans ce passé lointain
De son grand canal bordé de beaux palais
Et de sa basilique ils pourront en parler.
Tant d’amours sont passés par les ponts de Venise
Qui se sont bien perdus sous des froids de banquise
Même les orgueilleuses n’en font pas à leur guise
Qui sombrent un beau jour tout au fond où elles gisent.
Y avez vous glissé au son des barcarolles
Éprouvé la tristesse d’un endroit qui se meurt
Oui la ville s’affaisse, y a de quoi avoir peur.
Cette cité sublime montée sur pilotis
Sombre dans sa lagune, ce petit à petit
Et la montée des eaux transforme en marécage
Une ville historique de plus de mille ans d’âge.
Il n’est d’éternité pour les choses terrestres
Elles naissent, grandissent et enfin disparaissent
Vois les cités mayas ou les temples aztèques
Les pharaons d’antan, les australopithèques ?
Ainsi sera Venise dans peut-être cent ans
Nouvelle Atlantis au destin fascinant
Qui domina le monde à un certain moment
Puis plongea dans la nuit que recouvre le temps.
Seront lors entendus comme de grands témoins
Ceux qui virent Venise dans ce passé lointain
De son grand canal bordé de beaux palais
Et de sa basilique ils pourront en parler.
Tant d’amours sont passés par les ponts de Venise
Qui se sont bien perdus sous des froids de banquise
Même les orgueilleuses n’en font pas à leur guise
Qui sombrent un beau jour tout au fond où elles gisent.

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