je voudrais tant y croire
Publié le 05 octobre 2025
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Je voudrais tant y croire...
Je voudrais tant y croire, donnez-moi de l’espoir,
Envoyez-moi des signes que ce n’est pas le soir.
Quand je vois chaque jour le monde peint en noir
J’ai du mal, voyez-vous, avec cette histoire.
Qu’est-ce que nous racontent tous les événements ?
Guerres et pénuries et tous les tremblements
De la terre, des eaux, des tempêtes, des vents
Montée de la violence, et méfaits des tyrans ?
Que l’homo dit sapiens s’est voué à l’argent
Qu’il n’est plus de valeur hors celle des violents,
Qu’on ne contrôle rien, que l’on a perdu pied
En ayant trop joué à l’apprenti-sorcier.
Bien sûr ici ou là naissent des résistances
Mais trop rares et trop faibles contre cette tendance
Le problème est mondial, de New York à Pékin
De Moscou à Delhi, d’Ankara à Berlin.
Pas de frein à nos choix ni de machine arrière
Rien ne sert qui plus est de regarder derrière
C’est devant que surgissent les questions par milliers
Mais domine surtout : où va l’humanité ?
Pierre-Jean BOUTET
Je voudrais tant y croire, donnez-moi de l’espoir,
Envoyez-moi des signes que ce n’est pas le soir.
Quand je vois chaque jour le monde peint en noir
J’ai du mal, voyez-vous, avec cette histoire.
Qu’est-ce que nous racontent tous les événements ?
Guerres et pénuries et tous les tremblements
De la terre, des eaux, des tempêtes, des vents
Montée de la violence, et méfaits des tyrans ?
Que l’homo dit sapiens s’est voué à l’argent
Qu’il n’est plus de valeur hors celle des violents,
Qu’on ne contrôle rien, que l’on a perdu pied
En ayant trop joué à l’apprenti-sorcier.
Bien sûr ici ou là naissent des résistances
Mais trop rares et trop faibles contre cette tendance
Le problème est mondial, de New York à Pékin
De Moscou à Delhi, d’Ankara à Berlin.
Pas de frein à nos choix ni de machine arrière
Rien ne sert qui plus est de regarder derrière
C’est devant que surgissent les questions par milliers
Mais domine surtout : où va l’humanité ?
Pierre-Jean BOUTET

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