Te voilà, enfin !
Publié le 04 août 2025
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Te voilà, enfin !
Ah te voilà automne, tu m’as bien fait attendre !
J’ai souffert tout l’été tout au sud de Lyon
Quand Phoebus tout là-haut dardait fort ses rayons
Tu es la belle étape sur ma carte du tendre.
Tu apportes avec toi une infinie douceur
Un véritable baume sur les plaies de mon cœur
Tes couleurs d’ocre clair, sais-tu, me reposent.
Tu n’as pas les défauts de ces autres saisons
Qui veulent s’affirmer bien plus que de raison.
Par des excès de zèle, elles plaident leur cause.
Automne tu n’as point de désir de conquête
Sans aucune violence tu allumes tes feux
Ta palette est riche et contente nos yeux
Et quand brame le cerf j’ai le cœur à la fête.
Ah te voilà automne, tu m’as bien fait attendre !
J’ai souffert tout l’été tout au sud de Lyon
Quand Phoebus tout là-haut dardait fort ses rayons
Tu es la belle étape sur ma carte du tendre.
Tu apportes avec toi une infinie douceur
Un véritable baume sur les plaies de mon cœur
Tes couleurs d’ocre clair, sais-tu, me reposent.
Tu n’as pas les défauts de ces autres saisons
Qui veulent s’affirmer bien plus que de raison.
Par des excès de zèle, elles plaident leur cause.
Automne tu n’as point de désir de conquête
Sans aucune violence tu allumes tes feux
Ta palette est riche et contente nos yeux
Et quand brame le cerf j’ai le cœur à la fête.

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