Sur la plage je traîne ma tristesse du jour
Publié le 03 août 2025
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J’épanche mon chagrin sur mes anciennes amours
De ce temps où la vie me souriait toujours
Quand la joie et les rires résonnaient alentour.
Je me souviens si fort de ces moments si chauds
Où nous étions blottis tous deux peau contre peau
Quand nos cœurs épousaient les élans de nos corps
Quand nous voulions tous deux encore et encore.
Lors à ces souvenirs s’esquisse sur ma bouche
Un début de sourire, tant ces instants me touchent.
Les galets sur la plage ne me semblent si noirs
Une lueur d’espoir qui renaît dans le soir.
J’espère bien revivre des moments aussi chauds
Où nous serons blottis tous deux peau contre peau
Nos cœurs épouseront les élans de nos corps
Et nous crierons tous deux encore et encore.
Mais le ressac emporte avec lui tous mes rêves
À mes amours perdues il n’y aura de trêve
Qui connaîtra deux fois une union si parfaite
Où chaque instant vécu était comme une fête ?
Je ne pourrai revivre des moments aussi beaux
Où nous étions blottis tous deux peau contre peau
Où nos cœurs épousaient les élans de nos corps
Où nous voulions jouer de cœur à corps, encore.
De ce temps où la vie me souriait toujours
Quand la joie et les rires résonnaient alentour.
Je me souviens si fort de ces moments si chauds
Où nous étions blottis tous deux peau contre peau
Quand nos cœurs épousaient les élans de nos corps
Quand nous voulions tous deux encore et encore.
Lors à ces souvenirs s’esquisse sur ma bouche
Un début de sourire, tant ces instants me touchent.
Les galets sur la plage ne me semblent si noirs
Une lueur d’espoir qui renaît dans le soir.
J’espère bien revivre des moments aussi chauds
Où nous serons blottis tous deux peau contre peau
Nos cœurs épouseront les élans de nos corps
Et nous crierons tous deux encore et encore.
Mais le ressac emporte avec lui tous mes rêves
À mes amours perdues il n’y aura de trêve
Qui connaîtra deux fois une union si parfaite
Où chaque instant vécu était comme une fête ?
Je ne pourrai revivre des moments aussi beaux
Où nous étions blottis tous deux peau contre peau
Où nos cœurs épousaient les élans de nos corps
Où nous voulions jouer de cœur à corps, encore.

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