Un docteur à me lire ferait un diagnostic
Trop d’éco-anxiété chez ce triste loustic !
Mais cela va plus loin que le simple climat
D’autres indicateurs disent : ça ne va pas !
Je confronte toujours la beauté de la Terre
Aux actes des humains qui sont si délétères.
Je sais qu’ils savent agir quelquefois pour le mieux
Mais la plupart, hélas, ont l’argent comme Dieu.
L’ignorance et l’urgence de la simple survie
Engendrent des actions hostiles à la vie.
Le court terme camoufle les pires conséquences
Le long terme devient défi à l’existence.
J’ai la chance de vivre entouré de nature
J’y vois déjà des signes, témoins de ses souffrances
Sécheresses et tempêtes, plantes envahissantes
Insectes agressifs et chaleurs persistantes.
J’ai hérité d’un monde plein d’espoir après guerre
Tout y semblait possible et bien plus que naguère
On croyait encore à l’entente des nations
Maladies et misères semblaient en extinction.
Nous n’avons pas pris garde aux méfaits de l’argent
Quand le grand capital en a pris la gouverne
Échappant à ces lois qui partout nous gouvernent
Et a pris le dessus sur l’intérêt des gens.
Comment prétendre encore à quelque égalité
Entre ceux qui détiennent la plupart des richesses
Et tous ceux qui galèrent juste pour exister ?
Elles se sont envolées les anciennes promesses.
Si je croyais un peu à des forces suprêmes
Je dirais que le diable a gagné la partie
Ou que l’humain hélas est bien resté le même
Aveugle en ce qu’il est son pire ennemi.
Trop d’éco-anxiété chez ce triste loustic !
Mais cela va plus loin que le simple climat
D’autres indicateurs disent : ça ne va pas !
Je confronte toujours la beauté de la Terre
Aux actes des humains qui sont si délétères.
Je sais qu’ils savent agir quelquefois pour le mieux
Mais la plupart, hélas, ont l’argent comme Dieu.
L’ignorance et l’urgence de la simple survie
Engendrent des actions hostiles à la vie.
Le court terme camoufle les pires conséquences
Le long terme devient défi à l’existence.
J’ai la chance de vivre entouré de nature
J’y vois déjà des signes, témoins de ses souffrances
Sécheresses et tempêtes, plantes envahissantes
Insectes agressifs et chaleurs persistantes.
J’ai hérité d’un monde plein d’espoir après guerre
Tout y semblait possible et bien plus que naguère
On croyait encore à l’entente des nations
Maladies et misères semblaient en extinction.
Nous n’avons pas pris garde aux méfaits de l’argent
Quand le grand capital en a pris la gouverne
Échappant à ces lois qui partout nous gouvernent
Et a pris le dessus sur l’intérêt des gens.
Comment prétendre encore à quelque égalité
Entre ceux qui détiennent la plupart des richesses
Et tous ceux qui galèrent juste pour exister ?
Elles se sont envolées les anciennes promesses.
Si je croyais un peu à des forces suprêmes
Je dirais que le diable a gagné la partie
Ou que l’humain hélas est bien resté le même
Aveugle en ce qu’il est son pire ennemi.
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