Sans fin.
Publié le 03 août 2025
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Combien ce monde compte-t-il de poètes
De peintres attachés à coucher sur la toile
De musiciens rêvant de jouer les étoiles
D’artistes investis pour égayer nos fêtes ?
Miracle ils n’ont tout dit, tout joué, tout écrit
Il y a encore la place pour y pousser son cri
Des notes et des mots, des pinceaux, des couleurs
Pour exprimer les choses tout au fond de son coeur
Pour ma part
Dans ces arts
Le regard
Est à part.
Combien y trouve-t-on dans les bibliothèques
De romans, de recueils, de récits d’aventure
Combien dans les musées exposées de peintures
Et combien de vinyles sont dans les médiathèques ?
Étrange cependant qu’ils n’aient pas épuisé
Tout ce que j’ai à dire sur beaucoup de sujets
Serait-ce mon filet qui sait les capturer
Les mots autour de moi que je veux partager
C’est merveille
Que l’oreille
Nous éveille
Sans pareil.
Combien en ai-je écris, en écrirai encore
Combien en ai-je lus et en vivrai encore
Combien en ai-je vus, admirerai encore
Combien ai-je entendu de ces œuvres sonores ,
Magiques sont ces arts qui jamais ne s’épuisent
Qui nous fascinent fort par tout ce qu’on y puise
Qui nous parlent de la vie, ses bonheurs, ses malheurs
Qui usent pour cela de mille et une couleurs
Le meilleur
Par le cœur
Nous effleure
Et puis meurt.
De peintres attachés à coucher sur la toile
De musiciens rêvant de jouer les étoiles
D’artistes investis pour égayer nos fêtes ?
Miracle ils n’ont tout dit, tout joué, tout écrit
Il y a encore la place pour y pousser son cri
Des notes et des mots, des pinceaux, des couleurs
Pour exprimer les choses tout au fond de son coeur
Pour ma part
Dans ces arts
Le regard
Est à part.
Combien y trouve-t-on dans les bibliothèques
De romans, de recueils, de récits d’aventure
Combien dans les musées exposées de peintures
Et combien de vinyles sont dans les médiathèques ?
Étrange cependant qu’ils n’aient pas épuisé
Tout ce que j’ai à dire sur beaucoup de sujets
Serait-ce mon filet qui sait les capturer
Les mots autour de moi que je veux partager
C’est merveille
Que l’oreille
Nous éveille
Sans pareil.
Combien en ai-je écris, en écrirai encore
Combien en ai-je lus et en vivrai encore
Combien en ai-je vus, admirerai encore
Combien ai-je entendu de ces œuvres sonores ,
Magiques sont ces arts qui jamais ne s’épuisent
Qui nous fascinent fort par tout ce qu’on y puise
Qui nous parlent de la vie, ses bonheurs, ses malheurs
Qui usent pour cela de mille et une couleurs
Le meilleur
Par le cœur
Nous effleure
Et puis meurt.

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