Réponse à Paul E... aux bons soins de Guy Delvig
Publié le 03 août 2025
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C’est voilà donc monsieur, votre tour sur la liste
Comment s’en étonner, est-ce surréaliste ?
Aurions-nous appelé enfin votre attention
Là -bas sur l’Aventin, où trône votre nom ?
Mille propos aimables cela nous change un peu
Des diatribes incessantes, des critiques au mieux
Qu’hélas tant nous reçûmes de certains de vos pairs
De quelques grands poètes, tout comme vous célèbres.
Vous écrire aujourd’hui c’est pour moi un bonheur
De celui dont vous dites qu’il peut faire un monde
Chez vous l’amour est là et même il abonde
Vous êtes comme Aragon, un grand homme de coeur.
Vous chantiez la douleur en lettre capitales
Le désir de durer chez vous était palpable
Et comme le Phénix, l’amour lui renaissait
Quand vous perdiez Gala, c’est Nush qui vous aimait.
Des lettres de noblesses toutes vous méritez
Patrie, littérature vous doivent le respect
Lorsque vous disparûtes, le monde était en deuil
La colombe volait au dessus du cercueil.
Comment s’en étonner, est-ce surréaliste ?
Aurions-nous appelé enfin votre attention
Là -bas sur l’Aventin, où trône votre nom ?
Mille propos aimables cela nous change un peu
Des diatribes incessantes, des critiques au mieux
Qu’hélas tant nous reçûmes de certains de vos pairs
De quelques grands poètes, tout comme vous célèbres.
Vous écrire aujourd’hui c’est pour moi un bonheur
De celui dont vous dites qu’il peut faire un monde
Chez vous l’amour est là et même il abonde
Vous êtes comme Aragon, un grand homme de coeur.
Vous chantiez la douleur en lettre capitales
Le désir de durer chez vous était palpable
Et comme le Phénix, l’amour lui renaissait
Quand vous perdiez Gala, c’est Nush qui vous aimait.
Des lettres de noblesses toutes vous méritez
Patrie, littérature vous doivent le respect
Lorsque vous disparûtes, le monde était en deuil
La colombe volait au dessus du cercueil.

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