Que vous dire de plus ?
Publié le 03 août 2025
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Que dire de ce ciel toujours extraordinaire
Comment ne pas aimer le doux balancement
Des branches dans le vent, et dans les courants d’air
Des nuages, là-haut, le lent cheminement ?
Que dire de ce vert, sublimé de lumière,
Qui habille de frais les forêts et les champs ?
Et comment n’admirer les fleurs de ce printemps
Toutes épanouies le long des murs de pierres ?
Que dire des juments, de leurs poulains agiles
Alanguies dans les prés et broutant si paisibles ?
Comment ne pas sourire à tous ces veaux qui tètent
En donnant à leurs mères de furieux coups de tête ?
Que dire de la sève si gonflée d’énergie
Qui semble animer, en ces beaux jours, les vies ?
Comment ne pas aimer une saison si belle
Quand même elle s’en va, trop vite, à tire d’ailes ?
Que dire des caprices de ce ciel si changeant,
Du soleil, des nuages le combat incessant ?
Comment n’être content de tout ce qui va suivre,
Cet été espéré, que l’on s’apprête à vivre ?
Comment ne pas aimer le doux balancement
Des branches dans le vent, et dans les courants d’air
Des nuages, là-haut, le lent cheminement ?
Que dire de ce vert, sublimé de lumière,
Qui habille de frais les forêts et les champs ?
Et comment n’admirer les fleurs de ce printemps
Toutes épanouies le long des murs de pierres ?
Que dire des juments, de leurs poulains agiles
Alanguies dans les prés et broutant si paisibles ?
Comment ne pas sourire à tous ces veaux qui tètent
En donnant à leurs mères de furieux coups de tête ?
Que dire de la sève si gonflée d’énergie
Qui semble animer, en ces beaux jours, les vies ?
Comment ne pas aimer une saison si belle
Quand même elle s’en va, trop vite, à tire d’ailes ?
Que dire des caprices de ce ciel si changeant,
Du soleil, des nuages le combat incessant ?
Comment n’être content de tout ce qui va suivre,
Cet été espéré, que l’on s’apprête à vivre ?
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