Quand lon se tient la main.
Publié le 03 août 2025
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Bien des couches de givre viendront glacer mes os
De bien peu de printemps j’entendrai les échos
Ce que tant je redoute c’est la parole rare
Qui dans la solitude, on le sait, est avare.
Chaque heure qui passe me la rend plus précieuse
La présence aimée de l’épouse rieuse.
Je ne suis pas de ceux qui goûtent le silence
Moi ce que j’y entends, c’est d’abord les absences.
Bien des renoncements et bien des abandons
Viendront sonner le glas de multiples défaites
Quand le corps ne veut plus, qu’il n’est plus à la fête
Que la vie n’apparaît plus toujours comme un don,
Mais j’en accepterai jusqu’à l’humiliation
Si je reçois toujours cette illumination
Cette simple présence à l’humeur bienveillante
Cette femme amie, cette compagne aimante.
Je me présente aux portes de ce nouveau voyage
Auxquels les ans invitent les fous comme les sages.
Je m’engage confiant sur ces nouveaux chemins
Dès lors que tu es là, que l’on se tient la main.
De bien peu de printemps j’entendrai les échos
Ce que tant je redoute c’est la parole rare
Qui dans la solitude, on le sait, est avare.
Chaque heure qui passe me la rend plus précieuse
La présence aimée de l’épouse rieuse.
Je ne suis pas de ceux qui goûtent le silence
Moi ce que j’y entends, c’est d’abord les absences.
Bien des renoncements et bien des abandons
Viendront sonner le glas de multiples défaites
Quand le corps ne veut plus, qu’il n’est plus à la fête
Que la vie n’apparaît plus toujours comme un don,
Mais j’en accepterai jusqu’à l’humiliation
Si je reçois toujours cette illumination
Cette simple présence à l’humeur bienveillante
Cette femme amie, cette compagne aimante.
Je me présente aux portes de ce nouveau voyage
Auxquels les ans invitent les fous comme les sages.
Je m’engage confiant sur ces nouveaux chemins
Dès lors que tu es là, que l’on se tient la main.

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