Quand les bornes sont franchies
Publié le 03 août 2025
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Je ne veux plus entendre vos paroles trompeuses
Vos propos mensongers, ni vos promesses creuses.
Je m’y suis laissé prendre trop souvent à mon gré
Désormais c’est fini, car c’est moi qui maugrée.
Vous avez mille excuses pour vos trahisons
Et vous en invoquez plus qu’il n’est de raison.
Ne vous engagez pas à tout changer en mieux
Si vous ne le pouvez, car cela c’est odieux.
Parce qu’on a dit oui, cela faute de mieux
Une fois en cinq ans, vous vous croyez un dieu.
Vous êtes de ces hommes qui sont très dangereux
Qui font choses contraires à ce que sont nos vœux.
Vous prenez pour courage votre obstination
En prétendant agir au nom de la Nation.
Vous êtes un monarque plus arrogant que craint
Vous méprisez ce peuple qui vous fit souverain.
Restera dans l’histoire comme un mandat de trop
Ce temps où vous vouliez tout changer et au trot,
En effaçant hargneux tous les acquis sociaux
Au profit des amis confits de capitaux.
Tant de gens se soulèvent qu’il laisseront des traces
Sur nos institutions vécues comme menaces.
Le peuple n’est plus dupe que l’on dit souverain
Devant celui qui cherche à lui casser les reins.
Vos propos mensongers, ni vos promesses creuses.
Je m’y suis laissé prendre trop souvent à mon gré
Désormais c’est fini, car c’est moi qui maugrée.
Vous avez mille excuses pour vos trahisons
Et vous en invoquez plus qu’il n’est de raison.
Ne vous engagez pas à tout changer en mieux
Si vous ne le pouvez, car cela c’est odieux.
Parce qu’on a dit oui, cela faute de mieux
Une fois en cinq ans, vous vous croyez un dieu.
Vous êtes de ces hommes qui sont très dangereux
Qui font choses contraires à ce que sont nos vœux.
Vous prenez pour courage votre obstination
En prétendant agir au nom de la Nation.
Vous êtes un monarque plus arrogant que craint
Vous méprisez ce peuple qui vous fit souverain.
Restera dans l’histoire comme un mandat de trop
Ce temps où vous vouliez tout changer et au trot,
En effaçant hargneux tous les acquis sociaux
Au profit des amis confits de capitaux.
Tant de gens se soulèvent qu’il laisseront des traces
Sur nos institutions vécues comme menaces.
Le peuple n’est plus dupe que l’on dit souverain
Devant celui qui cherche à lui casser les reins.

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