Quand le temps est au morose.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
7 lecture
(0)
Tristesse, tu nous frappes, tu nous accables
Tu nous soumets, nous envahis, nous terrasses
Sur nos visages, regardez bien, on voit tes traces
Dans ces sillons au coin des bouches où tu t’installes.
Tu fais ton lit des sentiments les plus coupables
Où le bonheur comme la joie s’enfuient ou passent,
Quand l’envie de vivre un jour funeste nous lasse
Tu nous rends aussi de rire incapables.
Même de voir des gens heureux nous fait pleurer
Et du passé ne retenons que les regrets.
Ce voile noir que tu étends sur toute chose
Fait qu’elle montre désormais sa face sombre.
Tu as ce don de nous rendre d’humeur morose
Tu ne retiens de nos parcours que les décombres.
Tu nous soumets, nous envahis, nous terrasses
Sur nos visages, regardez bien, on voit tes traces
Dans ces sillons au coin des bouches où tu t’installes.
Tu fais ton lit des sentiments les plus coupables
Où le bonheur comme la joie s’enfuient ou passent,
Quand l’envie de vivre un jour funeste nous lasse
Tu nous rends aussi de rire incapables.
Même de voir des gens heureux nous fait pleurer
Et du passé ne retenons que les regrets.
Ce voile noir que tu étends sur toute chose
Fait qu’elle montre désormais sa face sombre.
Tu as ce don de nous rendre d’humeur morose
Tu ne retiens de nos parcours que les décombres.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.