Quand le sang se retire.
Publié le 03 août 2025
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Quand le sang se retire de nos veines glacées
Qui ne ressent l’empire de la mort annoncée ?
Car ce fluide est la vie qui circule après tout
Liquide qui nourrit ou nous tue, hors de nous.
La chaleur et le feu sont bien à son image
Un flot si rougeoyant qu’il porte le courage.
N’est-il pas tout autant fait aussi d’air et d’eau
Qui abreuvent et nourrissent nos cellules et nos os ?
Si chargé de symboles qu’il pourrait s’écrouler
Qui dans hommes ou bêtes ne cesse de couler
Associé c’est selon à la vie, à la mort
Ce n’est sachez le bien jamais lui qui a tort.
Qui versera le sang récoltera la haine
Que le fera couler appelle la tempête.
Sauf s’il paye tribut pour le prix de sa peine
Sauf s’il est de tribus où c’est le sang qu’on tète.
Ceux qui donnent leur sang, donnent jusqu’à leur vie,
Pour sauver, protéger, par choix bien d’autres vies.
Car si le sang se donne, il ne doit point se prendre
La guerre est un fléau qui ne laisse que cendres.
Ce que j’ai dans mon sang me vient de mes ancêtres
Comme les souvenirs, mémoire dans ma tête.
Ce sang s’il est à moi, aussi je le partage
Comme tout sur la terre il n’est que de passage.
Un instrument de vie porteur d’un beau message
Qu’entendront qui le sait ailleurs des hommes sages
Écoute ce que disent tes battements de cœur
La même mélodie qui joue dans d’autres cœurs.
Qui ne ressent l’empire de la mort annoncée ?
Car ce fluide est la vie qui circule après tout
Liquide qui nourrit ou nous tue, hors de nous.
La chaleur et le feu sont bien à son image
Un flot si rougeoyant qu’il porte le courage.
N’est-il pas tout autant fait aussi d’air et d’eau
Qui abreuvent et nourrissent nos cellules et nos os ?
Si chargé de symboles qu’il pourrait s’écrouler
Qui dans hommes ou bêtes ne cesse de couler
Associé c’est selon à la vie, à la mort
Ce n’est sachez le bien jamais lui qui a tort.
Qui versera le sang récoltera la haine
Que le fera couler appelle la tempête.
Sauf s’il paye tribut pour le prix de sa peine
Sauf s’il est de tribus où c’est le sang qu’on tète.
Ceux qui donnent leur sang, donnent jusqu’à leur vie,
Pour sauver, protéger, par choix bien d’autres vies.
Car si le sang se donne, il ne doit point se prendre
La guerre est un fléau qui ne laisse que cendres.
Ce que j’ai dans mon sang me vient de mes ancêtres
Comme les souvenirs, mémoire dans ma tête.
Ce sang s’il est à moi, aussi je le partage
Comme tout sur la terre il n’est que de passage.
Un instrument de vie porteur d’un beau message
Qu’entendront qui le sait ailleurs des hommes sages
Écoute ce que disent tes battements de cœur
La même mélodie qui joue dans d’autres cœurs.

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