Puise-sang
Publié le 03 août 2025
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Une ombre a surgi dans un soleil mourant
Toutes griffes dehors sur des couleurs de sang
Silhouette dressée vers qui te tournes-tu ?
Toi dont tous les contours disent : que nous veux-tu ?
A tes pieds, vermisseaux, se pressent en cohortes
Tous ceux qu’aux faux espoirs tu appelles et exhortes
Promesses mensongères d’une vie sans limites
Dans ce lâche abandon auquel tu les invites.
Qui peut être assez fou pour te prêter sa gorge
Qui voudrait ignorer la folie que tu forges
Il suffit de te voir dévoré par ta faim
Pour comprendre ce qu’est un supplice sans fin.
L’attraction du mystère, du désir et du sang
Conserve hélas sur eux un pouvoir trop puissant
Tu es déjà vainqueur sans avoir combattu
Les hommes sont si faibles pour toi Nosferatu !
Toutes griffes dehors sur des couleurs de sang
Silhouette dressée vers qui te tournes-tu ?
Toi dont tous les contours disent : que nous veux-tu ?
A tes pieds, vermisseaux, se pressent en cohortes
Tous ceux qu’aux faux espoirs tu appelles et exhortes
Promesses mensongères d’une vie sans limites
Dans ce lâche abandon auquel tu les invites.
Qui peut être assez fou pour te prêter sa gorge
Qui voudrait ignorer la folie que tu forges
Il suffit de te voir dévoré par ta faim
Pour comprendre ce qu’est un supplice sans fin.
L’attraction du mystère, du désir et du sang
Conserve hélas sur eux un pouvoir trop puissant
Tu es déjà vainqueur sans avoir combattu
Les hommes sont si faibles pour toi Nosferatu !

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