Pour ce faire, écris !
Publié le 03 août 2025
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Entends-tu, dans le vent, les soupirs de la terre
Vois-tu, dans les nuages, des fumées délétères
Dans le fil des ruisseaux, bien de sombres matières
Et des grands incendies, les cruelles lumières ?
Sens-tu donc les sanies, de toutes ces blessures,
Tout n’est plus qu’avanies, dans la mère nature,
Les chants qu’elle entonne ne sont ceux des oiseaux
Mais bien les chants funèbres au tombé du rideau.
Recueille si tu peux les restes de beauté
Qui se cachent encore en des coins reculés
Pour ce faire écris, ou bien peins, ou compose
Ou laisse des photos si tout cela tu n’oses.
Mais garde à l’esprit que tu fus le témoin
Un des derniers sans doute de ce si beau jardin
Et remercie le sort de t’avoir fait connaître
tout ce que ne verront tous les enfants à naître.
Vois-tu, dans les nuages, des fumées délétères
Dans le fil des ruisseaux, bien de sombres matières
Et des grands incendies, les cruelles lumières ?
Sens-tu donc les sanies, de toutes ces blessures,
Tout n’est plus qu’avanies, dans la mère nature,
Les chants qu’elle entonne ne sont ceux des oiseaux
Mais bien les chants funèbres au tombé du rideau.
Recueille si tu peux les restes de beauté
Qui se cachent encore en des coins reculés
Pour ce faire écris, ou bien peins, ou compose
Ou laisse des photos si tout cela tu n’oses.
Mais garde à l’esprit que tu fus le témoin
Un des derniers sans doute de ce si beau jardin
Et remercie le sort de t’avoir fait connaître
tout ce que ne verront tous les enfants à naître.

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