Plus de traces
Publié le 03 août 2025
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Dans la petite chambre bien trop grande sans toi
Dans cet espace vide qui se languit de toi
Mes pensées tourbillonnent sans pouvoir se poser
Et mon cœur est aphone, il ne sait reposer.
N’existe que l’absence dans ces lieux désolés
Que celle de ta voix, par elle abandonnés
N’existe que la trace dans la maison qui pleure
Que celle de tes gestes qui lui donnaient couleurs
Dans le jardin dehors toutes les fleurs se fanent
Dans cet espace ouvert que seul le vent profane
Mes souvenirs remontent dans des cris de douleur
Et mon cœur lui se serre d’une étrange torpeur.
N’existe que l’idée dans ces lieux de désordre
Que celle qui vivait de l’amour que tu accordes
Ne se voient plus les marques dans cette allée qui meurt
Plus celles de tes gestes qui la mettaient en fleurs.
Dans ma vie qui se traîne d’une affreuse langueur
Dans ce sort qui résulte de toutes mes erreurs
Mes regrets mes remords viennent nourrir ma peur
Et mon cœur est éteint toute flamme y meurt.
N’existe plus que cendres reliquats de ces feux
Qui jadis consumaient ces moments de nous deux
N’existent cicatrices, que blessures ouvertes
Plus traces de caresses quand tu m’étais offerte.
Dans cet espace vide qui se languit de toi
Mes pensées tourbillonnent sans pouvoir se poser
Et mon cœur est aphone, il ne sait reposer.
N’existe que l’absence dans ces lieux désolés
Que celle de ta voix, par elle abandonnés
N’existe que la trace dans la maison qui pleure
Que celle de tes gestes qui lui donnaient couleurs
Dans le jardin dehors toutes les fleurs se fanent
Dans cet espace ouvert que seul le vent profane
Mes souvenirs remontent dans des cris de douleur
Et mon cœur lui se serre d’une étrange torpeur.
N’existe que l’idée dans ces lieux de désordre
Que celle qui vivait de l’amour que tu accordes
Ne se voient plus les marques dans cette allée qui meurt
Plus celles de tes gestes qui la mettaient en fleurs.
Dans ma vie qui se traîne d’une affreuse langueur
Dans ce sort qui résulte de toutes mes erreurs
Mes regrets mes remords viennent nourrir ma peur
Et mon cœur est éteint toute flamme y meurt.
N’existe plus que cendres reliquats de ces feux
Qui jadis consumaient ces moments de nous deux
N’existent cicatrices, que blessures ouvertes
Plus traces de caresses quand tu m’étais offerte.

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