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Publié le 03 août 2025
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La nature surprend lorsqu’ainsi elle s’épanche
Un jour, un ciel d’azur, dans toute sa splendeur
Qui réveille l’espoir que l’on tient dans son cœur
Puis voilà qu’elle répand sa belle couleur blanche.
En place de l’oiseau qui pépie sur la branche
Le givre s’y accroche, sans aucune pudeur
Et s’exhibe alors comme fait un vainqueur
Avant, sous les rayons, que très vite il flanche.
Étrange mois d’Avril, à sa marque fidèle
Si le printemps déjà y pointe un peu l’aile
L’hiver y fait encore de courtes incursions.
N’enlève ton manteau, ne laisse rien à nu
Garde-toi un moment de ta belle illusion
Du printemps ne célèbre trop vite la venue.
Un jour, un ciel d’azur, dans toute sa splendeur
Qui réveille l’espoir que l’on tient dans son cœur
Puis voilà qu’elle répand sa belle couleur blanche.
En place de l’oiseau qui pépie sur la branche
Le givre s’y accroche, sans aucune pudeur
Et s’exhibe alors comme fait un vainqueur
Avant, sous les rayons, que très vite il flanche.
Étrange mois d’Avril, à sa marque fidèle
Si le printemps déjà y pointe un peu l’aile
L’hiver y fait encore de courtes incursions.
N’enlève ton manteau, ne laisse rien à nu
Garde-toi un moment de ta belle illusion
Du printemps ne célèbre trop vite la venue.

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