Pantoum de la mort.
Publié le 03 août 2025
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On ne pense à la mort ou bien trop l’on y pense
Selon l’âge qu’on a, ou selon qui l’on est
Le temps est la monnaie qu’à plaisir l’on dépense
Mais il est impossible hélas de l’acheter.
Selon l’âge qu’on a, ou selon qui l’on est,
On ressent plus ou moins, c’est acquis, sa présence
Mais il est impossible hélas de l’acheter
Ce moment d’exception où la joie est immense.
On ressent plus ou moins, c’est acquis, sa présence
Toujours son ombre plane, à bien des yeux cachée.
Ce moment d’exception où la joie est immense
On ne peut s’empêcher de n’y jamais songer.
Toujours son ombre plane, à bien des yeux cachés
Dans la vie l’important n’est-il pas qu’on avance ?
On ne peut s’empêcher de n’y jamais songer,
On ne pense à la mort ou bien trop l’on y pense.
Selon l’âge qu’on a, ou selon qui l’on est
Le temps est la monnaie qu’à plaisir l’on dépense
Mais il est impossible hélas de l’acheter.
Selon l’âge qu’on a, ou selon qui l’on est,
On ressent plus ou moins, c’est acquis, sa présence
Mais il est impossible hélas de l’acheter
Ce moment d’exception où la joie est immense.
On ressent plus ou moins, c’est acquis, sa présence
Toujours son ombre plane, à bien des yeux cachée.
Ce moment d’exception où la joie est immense
On ne peut s’empêcher de n’y jamais songer.
Toujours son ombre plane, à bien des yeux cachés
Dans la vie l’important n’est-il pas qu’on avance ?
On ne peut s’empêcher de n’y jamais songer,
On ne pense à la mort ou bien trop l’on y pense.

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