Ouvert.
Publié le 03 août 2025
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Je suis de ces rêveurs, emportés dans leurs songes
Qui voudraient voir le monde, libre de ces mensonges
Quand chacun travestit trop sa réalité
Et s’empêcher de voir ce qu’il peut apporter.
Je suis si amoureux, de la vie, des vivants
Et si admiratif, lorsque je suis devant
Un spectacle nature, tant il est émouvant
Point besoin pour cela, d’être un grand savant.
Quand tout est vibration, faut être à l’unisson
Des couleurs qui rayonnent et des vents qui frissonnent
Des éclairs qui résonnent, de l’amour qui se donne
Au sein de la nature, tout est calme ou passion.
Je glisse et je navigue, à la crête des vagues
Aux cimes des forêts, sur les grands champs de blé
Sur leurs ondes fécondes, je glisse et je divague
Par ces rythmes où je nage, je me laisse entraîner.
Je n’ai en rien besoin, de quelconque machine
Pour m’enivrer du monde, comme de sa beauté
Il y a plus en lui, que ce qu’on imagine
Il suffit d’être ouvert, pour percer ses secrets.
Qui voudraient voir le monde, libre de ces mensonges
Quand chacun travestit trop sa réalité
Et s’empêcher de voir ce qu’il peut apporter.
Je suis si amoureux, de la vie, des vivants
Et si admiratif, lorsque je suis devant
Un spectacle nature, tant il est émouvant
Point besoin pour cela, d’être un grand savant.
Quand tout est vibration, faut être à l’unisson
Des couleurs qui rayonnent et des vents qui frissonnent
Des éclairs qui résonnent, de l’amour qui se donne
Au sein de la nature, tout est calme ou passion.
Je glisse et je navigue, à la crête des vagues
Aux cimes des forêts, sur les grands champs de blé
Sur leurs ondes fécondes, je glisse et je divague
Par ces rythmes où je nage, je me laisse entraîner.
Je n’ai en rien besoin, de quelconque machine
Pour m’enivrer du monde, comme de sa beauté
Il y a plus en lui, que ce qu’on imagine
Il suffit d’être ouvert, pour percer ses secrets.

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