Ordinaire.
Publié le 03 août 2025
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Un nouveau jour se lève au compteur de ma vie
Ce n’est un jour de rêve mais combien me l’envient ?
Même un jour ordinaire s’il s’y glisse un plaisir
Même un plaisir modeste, reste un jour à vivre.
Et s’il est de brouillard, ce sera bien, tant mieux
Ça reste un nouveau jour, c’est assez merveilleux
De se dire qu’il n’est pas celui de nos adieux
J’imagine y voir naître un soleil très radieux.
Ce nouveau jour peut-être qu’il m’apportera
Une idée nouvelle, qu’un conte il donnera
Dont j’écrirai les pages avec délectation
Pour ouvrir la fenêtre, élargir l’horizon.
Je risquerai aussi de faire un nouveau plat
Pour mettre des couleurs, des saveurs dans nos plats.
J’ouvrirai un bon livre pour y suivre les pas
D’un autre que moi même que je ne connais pas.
J’irai dans le jardin admirer les jonquilles
Y ramasser au sol quelques rares brindilles
Puis allumer un feu pour chasser la froidure
Qui tente mais en vain que de passer les murs.
J’enverrai des sourires à ma chère, à ma mie
Celle qui est depuis si longtemps mon amie.
Avec quelques caresses et de tendres baisers
Lui dirai que je l’aime sans jamais m’en lasser.
Ce n’est qu’un nouveau jour dans le fil de ma vie
Où règne un peu d’amour, un jeu qui me ravit
Des gestes sans exploits, des émotions très douces
Comme des baies posées sur un beau lit de mousse.
Ce n’est un jour de rêve mais combien me l’envient ?
Même un jour ordinaire s’il s’y glisse un plaisir
Même un plaisir modeste, reste un jour à vivre.
Et s’il est de brouillard, ce sera bien, tant mieux
Ça reste un nouveau jour, c’est assez merveilleux
De se dire qu’il n’est pas celui de nos adieux
J’imagine y voir naître un soleil très radieux.
Ce nouveau jour peut-être qu’il m’apportera
Une idée nouvelle, qu’un conte il donnera
Dont j’écrirai les pages avec délectation
Pour ouvrir la fenêtre, élargir l’horizon.
Je risquerai aussi de faire un nouveau plat
Pour mettre des couleurs, des saveurs dans nos plats.
J’ouvrirai un bon livre pour y suivre les pas
D’un autre que moi même que je ne connais pas.
J’irai dans le jardin admirer les jonquilles
Y ramasser au sol quelques rares brindilles
Puis allumer un feu pour chasser la froidure
Qui tente mais en vain que de passer les murs.
J’enverrai des sourires à ma chère, à ma mie
Celle qui est depuis si longtemps mon amie.
Avec quelques caresses et de tendres baisers
Lui dirai que je l’aime sans jamais m’en lasser.
Ce n’est qu’un nouveau jour dans le fil de ma vie
Où règne un peu d’amour, un jeu qui me ravit
Des gestes sans exploits, des émotions très douces
Comme des baies posées sur un beau lit de mousse.

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