Orbites
Publié le 03 août 2025
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(Essai d’Ouroboros no 3)
Notre terre dans le vide tourne c’est sans appel
Et les années se comptent depuis ça à la pelle.
Qui de nous s’en étonne quand moi je m’émerveille
De le voir chaque jour se lever le soleil ?
Lorsque l’aube renaît après la nuit de veille
Pour une autre journée à nulle autre pareille
Lorsque la vie repart comme ragaillardie
Qu’on se sent le matin encore plus hardi
Les semaines se suivent de lundi en lundi
On remercie la vie, du moins moi je le dis.
On traverse des passes où des jours plutôt sombres
Mais de petites joies on n’en compte le nombre
La mémoire du pire rarement nous encombre
On aime le soleil bien plus que les ombres.
Les jours les mois se suivent et aussi les années
Où bien sûr on vieillit mais quand un enfant naît
On retient cette date où la vie a donné
Des raisons de lutter et de n’abandonner.
Notre planète bleue tournera bien encore
On n’en connaît pas bien quel sera le décor
Notre terre dans le vide tourne c’est sans appel
Et les années se comptent depuis ça à la pelle.
Qui de nous s’en étonne quand moi je m’émerveille
De le voir chaque jour se lever le soleil ?
Lorsque l’aube renaît après la nuit de veille
Pour une autre journée à nulle autre pareille
Lorsque la vie repart comme ragaillardie
Qu’on se sent le matin encore plus hardi
Les semaines se suivent de lundi en lundi
On remercie la vie, du moins moi je le dis.
On traverse des passes où des jours plutôt sombres
Mais de petites joies on n’en compte le nombre
La mémoire du pire rarement nous encombre
On aime le soleil bien plus que les ombres.
Les jours les mois se suivent et aussi les années
Où bien sûr on vieillit mais quand un enfant naît
On retient cette date où la vie a donné
Des raisons de lutter et de n’abandonner.
Notre planète bleue tournera bien encore
On n’en connaît pas bien quel sera le décor

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