Mettre dans la balance, pas tout dun seul côté
Publié le 03 août 2025
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Mettre un peu de bonheur sur le plateau du cœur
Quand l’autre tant s’affaisse sous le poids des douleurs.
Veiller que son fléau n’aille à trop pencher.
C’est dehors qu’il fait beau, que pépient les oiseaux
Mais mon esprit s’en va visiter le ruisseau
Que dis-je le ruisseau, l’égout où sont nos hontes
Tandis que les périls de toutes parts ils montent.
Dehors le ciel est bleu parsemé de nuages
Rien ne paraît changé dans ces beaux paysages
La montagne est là, les bouleaux sont superbes
D’éclatants pissenlits surgissent fiers de l’herbe.
Dans mon âme inquiète s’agitent bien des troubles
Quand les rumeurs du monde disent combien sont fourbes
Les manœuvres des hommes, leurs sombres manigances
Pour nous priver d’une ombre ou d’une once de chance.
Tout comme au ralenti je vois tout à la fois
Un monde merveilleux et l’épée qui s’abat,
Comme si des sorcières conduisaient le sabbat
Qui mène à ce gouffre qui nourrit mon effroi.
Le meilleur et le pire à l’instant se côtoient
Le sort de la bataille semble joué mais quoi ?
Allons-nous tous céder à en baisser les bras
Renoncer à nous battre pour ce à quoi l’on croit ?
Quand l’autre tant s’affaisse sous le poids des douleurs.
Veiller que son fléau n’aille à trop pencher.
C’est dehors qu’il fait beau, que pépient les oiseaux
Mais mon esprit s’en va visiter le ruisseau
Que dis-je le ruisseau, l’égout où sont nos hontes
Tandis que les périls de toutes parts ils montent.
Dehors le ciel est bleu parsemé de nuages
Rien ne paraît changé dans ces beaux paysages
La montagne est là, les bouleaux sont superbes
D’éclatants pissenlits surgissent fiers de l’herbe.
Dans mon âme inquiète s’agitent bien des troubles
Quand les rumeurs du monde disent combien sont fourbes
Les manœuvres des hommes, leurs sombres manigances
Pour nous priver d’une ombre ou d’une once de chance.
Tout comme au ralenti je vois tout à la fois
Un monde merveilleux et l’épée qui s’abat,
Comme si des sorcières conduisaient le sabbat
Qui mène à ce gouffre qui nourrit mon effroi.
Le meilleur et le pire à l’instant se côtoient
Le sort de la bataille semble joué mais quoi ?
Allons-nous tous céder à en baisser les bras
Renoncer à nous battre pour ce à quoi l’on croit ?

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