Mes jours de lan.
Publié le 03 août 2025
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Quand le vent vient siffler en animal blessé
Sur le cœur desséché des grandes branches mortes
Quand il vient en passant à pleurer à ma porte
Je sens l’hiver avide de mes espoirs glacer.
Lorsque les eaux bouillonnent aux débâcles annoncées
Et que tout elles emportent dans les lits débordés
Quand elles viennent lécher les murs de ma demeure
J’entends gémir l’hiver, et je n’ai pas de pleurs.
Quand la sève transpire aux plaisirs des bourgeons
Quand l’énergie respire en printemps d’illusions
Quand j’ai à mes narines des senteurs d’exception
En moi la vie reprend ses plus folles passions.
Quand les herbes jaunissent sous les chaleurs d’été
Et que les peaux brunissent aux plages ensablées
Les vapeurs qui s’élèvent semblent toutes chargées
De ces visions qu’en rêve j’ai eu de t’enlacer.
Quand les arbres se lassent de feuillages trop tendres
Qu’ils veulent des couleurs et cela sans attendre
Que l’on peut voir brûler des forêts entières
Je sais alors que l’an consume ses lumières.
Lors quand le vent siffle en animal blessé Sur le cœur desséché des grandes branches mortesQuand il vient en passant à pleurer à ma porteJe sais qu’Hiver arrive sur mes espoirs glacés.
Lors quand le vent siffle en animal blessé
Sur le cœur desséché des grandes branches mortes
Quand il vient en passant à pleurer à ma porte
Je sais qu’Hiver arrive sur mes espoirs glacés.
Sur le cœur desséché des grandes branches mortes
Quand il vient en passant à pleurer à ma porte
Je sens l’hiver avide de mes espoirs glacer.
Lorsque les eaux bouillonnent aux débâcles annoncées
Et que tout elles emportent dans les lits débordés
Quand elles viennent lécher les murs de ma demeure
J’entends gémir l’hiver, et je n’ai pas de pleurs.
Quand la sève transpire aux plaisirs des bourgeons
Quand l’énergie respire en printemps d’illusions
Quand j’ai à mes narines des senteurs d’exception
En moi la vie reprend ses plus folles passions.
Quand les herbes jaunissent sous les chaleurs d’été
Et que les peaux brunissent aux plages ensablées
Les vapeurs qui s’élèvent semblent toutes chargées
De ces visions qu’en rêve j’ai eu de t’enlacer.
Quand les arbres se lassent de feuillages trop tendres
Qu’ils veulent des couleurs et cela sans attendre
Que l’on peut voir brûler des forêts entières
Je sais alors que l’an consume ses lumières.
Lors quand le vent siffle en animal blessé Sur le cœur desséché des grandes branches mortesQuand il vient en passant à pleurer à ma porteJe sais qu’Hiver arrive sur mes espoirs glacés.
Lors quand le vent siffle en animal blessé
Sur le cœur desséché des grandes branches mortes
Quand il vient en passant à pleurer à ma porte
Je sais qu’Hiver arrive sur mes espoirs glacés.

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