Mauvaise conscience.
Publié le 03 août 2025
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Laisser s’évanouir sa mauvaise conscience
Celle qui paralyse et pousse à l’inaction
Oublier la veulerie du lâche abandon
Qui incite sournois à dire à quoi bon ?
Tout peut être prétexte à des renoncements
À des fuites honteuses, de viles dérobades
Quand il est si facile de se dire impuissant
Mais qui est donc puissant ? Ce n’est que galéjade.
On n’est jamais certain et ce quoi que l’on fasse
Qu’au bout soit le succès, et même si ça casse
C’est de persévérer qui peut donner un sens
Sans ça que serait donc celui de l’existence ?
Ne compte après tout que ce que l’on a fait
Car tout ce que l’on pense n’est toujours qu’imparfait.
Qu’importe si le temps après nous tout défait
Seul le présent nous dicte ce qui doit être fait.
Alors plutôt agir selon ce que l’on croit
Ne faire seulement ce à quoi l’on a droit.
Il nous faut bousculer parfois l’ordre établi
Lorsque justice et paix il nous faut rétablir.
Ou alors accepter de rester spectateur
D’être indifférent à tout autre malheur
Que celui qui nous frappe, qui existe ailleurs
Et enfouir tout cela au profond de nos cœurs.
Celle qui paralyse et pousse à l’inaction
Oublier la veulerie du lâche abandon
Qui incite sournois à dire à quoi bon ?
Tout peut être prétexte à des renoncements
À des fuites honteuses, de viles dérobades
Quand il est si facile de se dire impuissant
Mais qui est donc puissant ? Ce n’est que galéjade.
On n’est jamais certain et ce quoi que l’on fasse
Qu’au bout soit le succès, et même si ça casse
C’est de persévérer qui peut donner un sens
Sans ça que serait donc celui de l’existence ?
Ne compte après tout que ce que l’on a fait
Car tout ce que l’on pense n’est toujours qu’imparfait.
Qu’importe si le temps après nous tout défait
Seul le présent nous dicte ce qui doit être fait.
Alors plutôt agir selon ce que l’on croit
Ne faire seulement ce à quoi l’on a droit.
Il nous faut bousculer parfois l’ordre établi
Lorsque justice et paix il nous faut rétablir.
Ou alors accepter de rester spectateur
D’être indifférent à tout autre malheur
Que celui qui nous frappe, qui existe ailleurs
Et enfouir tout cela au profond de nos cœurs.

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