Mais jen ai forte souvenance.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
7 lecture
(0)
Je n’avais alors que dix ans
Un âge qu’on dit d’innocence.
La campagne était en ce temps
Un terrain de jeu en Provence.
Un âge qu’on dit d’innocence
Mais je croisais ses yeux charmants.
Un terrain de jeu en Provence
Et il faisait beau tout le temps.
Mais je croisais ses yeux charmants
Je rougissais en sa présence.
Et il faisait beau tout le temps
Dois-j’en faire la confidence
Je rougissais en sa présence
Plus rien ne fut comme avant.
Dois-j’en faire la confidence
Dans les arbres j’allais grimpant.
Plus rien ne fut comme avant
Nous jouions en toute décence.
Dans les arbres j’allais grimpant
C’était le temps de l’insouciance.
Nous jouions en toute décence
Nous étions certes des enfants.
C’était le temps de l’insouciance
C’était au siècle précédent.
Nous étions certes des enfants
Mais j’en ai forte souvenance.
C’était au siècle précédent
Je n’avais alors que dix ans.
Un âge qu’on dit d’innocence.
La campagne était en ce temps
Un terrain de jeu en Provence.
Un âge qu’on dit d’innocence
Mais je croisais ses yeux charmants.
Un terrain de jeu en Provence
Et il faisait beau tout le temps.
Mais je croisais ses yeux charmants
Je rougissais en sa présence.
Et il faisait beau tout le temps
Dois-j’en faire la confidence
Je rougissais en sa présence
Plus rien ne fut comme avant.
Dois-j’en faire la confidence
Dans les arbres j’allais grimpant.
Plus rien ne fut comme avant
Nous jouions en toute décence.
Dans les arbres j’allais grimpant
C’était le temps de l’insouciance.
Nous jouions en toute décence
Nous étions certes des enfants.
C’était le temps de l’insouciance
C’était au siècle précédent.
Nous étions certes des enfants
Mais j’en ai forte souvenance.
C’était au siècle précédent
Je n’avais alors que dix ans.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.