Lunaire.
Publié le 03 août 2025
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Ce soir tout en haut de la dune
Couché, j’ai admiré la lune
Je n’en connais comme elle aucune
Qui tous les jours, soit à la une.
Que seraient sans elle nos nuits
Sans la clarté, l’orbe qui luit ?
On serait gagné par l’ennui
Dès que le jour serait enfui.
S’il n’existait là haut cet astre
Qui pourrait dire les désastres
Que ferait l’absence néfaste
De cette lune dans son faste.
Lors j’admire le disque d’or
Qui luit tout là-haut, là dehors
Demain il sera là encore
Veillant sur les vivants, les morts.
Rendons hommage à la nature
De cette belle écriture
Je ne vois aucune rature
Dans cet astre qui me rassure.
Que j’ai l’âme ou non chagrine
La lune me répond câline
Elle là-haut qui me domine
Avec toujours les mêmes mines.
Couché, j’ai admiré la lune
Je n’en connais comme elle aucune
Qui tous les jours, soit à la une.
Que seraient sans elle nos nuits
Sans la clarté, l’orbe qui luit ?
On serait gagné par l’ennui
Dès que le jour serait enfui.
S’il n’existait là haut cet astre
Qui pourrait dire les désastres
Que ferait l’absence néfaste
De cette lune dans son faste.
Lors j’admire le disque d’or
Qui luit tout là-haut, là dehors
Demain il sera là encore
Veillant sur les vivants, les morts.
Rendons hommage à la nature
De cette belle écriture
Je ne vois aucune rature
Dans cet astre qui me rassure.
Que j’ai l’âme ou non chagrine
La lune me répond câline
Elle là-haut qui me domine
Avec toujours les mêmes mines.

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