Libres et fières.
Publié le 03 août 2025
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Qui n’aime à rêver à de jolies bergères
Entourées de moutons, avec le sein à l’air ?
Ont-elles existé ces filles de jadis
Chantées par les poètes, ailleurs qu’en paradis ?
Pourquoi aller chercher pareilles allégories
Alors qu’autour de nous Montpellier ou Paris
Tant de femmes sillonnent les places et les rues
D’une allure moderne, qui ne sont ingénues ?
Moi ce sont ces femmes qui m’amènent à rêver
D’échanger avec elles et de les rencontrer
Non des femmes soumises mais très déterminées
Des femmes qu’en tout point, je puisse admirer.
Fini les midinettes, et les femmes objets !
Faites donc place nette à la femme sujet !
Une femme égale dans tout ce qu’elle sait
Une femme capable dans tout ce qu’elle fait.
Cela en rien n’empêche d’être sensible au sexe
De se dire homme ou femme et sans aucun complexe
Non pour dominer l’autre mais plutôt le séduire
Il n’est mille façons pour ça de se conduire.
Alors messieurs voyez mais surtout ne touchez
Elles ne sont des proies offertes à vos conquêtes
N’ont-elles pas le droit que de vous tenir tête
Et de vaquer en paix sans être inquiétées ?
Alors femmes marchez et sans courber la tête
Je sais à qui je dois, mes joies comme mes fêtes.
Continuez à lutter pour être reconnues
Et non pas affichées lorsque vous êtes nues.
Quand moi j’entends parler du sexe qu’on dit fort
De quoi me parle-t-on d’esprit ou bien de corps ?
Je vois votre courage et votre volonté
Votre intelligence comme votre beauté
Celles que je connais sont des femmes debout
Qui jamais rien ne lâchent, elles vont jusqu’au bout.
La place qu’elles occupent, ne la doivent qu’à elles
Et à les voir agir, ça me donne des ailes.
Moi j’aime à rêver à des femmes si fières
Qui portent dans leurs yeux cette étrange lumière
Qui avancent d’un pas libre et confiant
Sans jeter un regard à de lâches ruffians.
Entourées de moutons, avec le sein à l’air ?
Ont-elles existé ces filles de jadis
Chantées par les poètes, ailleurs qu’en paradis ?
Pourquoi aller chercher pareilles allégories
Alors qu’autour de nous Montpellier ou Paris
Tant de femmes sillonnent les places et les rues
D’une allure moderne, qui ne sont ingénues ?
Moi ce sont ces femmes qui m’amènent à rêver
D’échanger avec elles et de les rencontrer
Non des femmes soumises mais très déterminées
Des femmes qu’en tout point, je puisse admirer.
Fini les midinettes, et les femmes objets !
Faites donc place nette à la femme sujet !
Une femme égale dans tout ce qu’elle sait
Une femme capable dans tout ce qu’elle fait.
Cela en rien n’empêche d’être sensible au sexe
De se dire homme ou femme et sans aucun complexe
Non pour dominer l’autre mais plutôt le séduire
Il n’est mille façons pour ça de se conduire.
Alors messieurs voyez mais surtout ne touchez
Elles ne sont des proies offertes à vos conquêtes
N’ont-elles pas le droit que de vous tenir tête
Et de vaquer en paix sans être inquiétées ?
Alors femmes marchez et sans courber la tête
Je sais à qui je dois, mes joies comme mes fêtes.
Continuez à lutter pour être reconnues
Et non pas affichées lorsque vous êtes nues.
Quand moi j’entends parler du sexe qu’on dit fort
De quoi me parle-t-on d’esprit ou bien de corps ?
Je vois votre courage et votre volonté
Votre intelligence comme votre beauté
Celles que je connais sont des femmes debout
Qui jamais rien ne lâchent, elles vont jusqu’au bout.
La place qu’elles occupent, ne la doivent qu’à elles
Et à les voir agir, ça me donne des ailes.
Moi j’aime à rêver à des femmes si fières
Qui portent dans leurs yeux cette étrange lumière
Qui avancent d’un pas libre et confiant
Sans jeter un regard à de lâches ruffians.

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