Les temps obscurs.
Publié le 03 août 2025
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Eh bien voilà ils sont partis
Ils étaient là, tous mes amis
Joyeuse bande de copains
Quand nous reverrons-nous, demain ?
Trois fois hélas ils sont ici
Tous ces soldats et leurs fusils
Affreuse bande de coquins
Quand repartiront-ils, demain ?
C’est ça vois-tu, la sale guerre
C’est du paradis à l’enfer
Un jour tu ris, c’est beau la vie
L’autre tu pleures, et c’est fini.
Fini le temps de l’insouciance
Des rires des chansons, des danses
Quand s’abattent les temps obscurs
De l’amour, la haine n’a cure.
Eh bien voilà que le glas sonne
Dans les rues il n’y a plus personne
Retentissent fort les alarmes
Coulent sans fin alors les larmes.
Combien de temps à ne pas vivre
Combien de jours à n’être libre
Encor l’espoir chez certains vibre
Faut-il se battre ou mourir ?
Ils étaient là, tous mes amis
Joyeuse bande de copains
Quand nous reverrons-nous, demain ?
Trois fois hélas ils sont ici
Tous ces soldats et leurs fusils
Affreuse bande de coquins
Quand repartiront-ils, demain ?
C’est ça vois-tu, la sale guerre
C’est du paradis à l’enfer
Un jour tu ris, c’est beau la vie
L’autre tu pleures, et c’est fini.
Fini le temps de l’insouciance
Des rires des chansons, des danses
Quand s’abattent les temps obscurs
De l’amour, la haine n’a cure.
Eh bien voilà que le glas sonne
Dans les rues il n’y a plus personne
Retentissent fort les alarmes
Coulent sans fin alors les larmes.
Combien de temps à ne pas vivre
Combien de jours à n’être libre
Encor l’espoir chez certains vibre
Faut-il se battre ou mourir ?

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