Les rires.
Publié le 03 août 2025
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Les rires autour de moi fusent sans retenue
Et moi je me sens vide, et moi je me sens nu,
Puisqu’elle est absente, que je ne l’ai revue
La vie n’a de couleurs puisqu’elle n’est venue.
La joie ne se partage que si elle est entière
Elle ne peut éclater si n’est pas la lumière
Celle qui dans mon cœur est constante prière
Merci que d’exister à celle qui m’est chère.
Quand soudain tout s’éclaire à sa seule arrivée
Quand la flamme ainsi s’en voit tant ravivée
Je me sens libéré d’une affreuse pensée
Celle de vivre seul une longue soirée.
Elle me prend la main puis elle me sourit
Elle dit tout le temps que cela lui a pris
De finir un travail qu’elle avait mal compris.
Mais que d’être avec moi, cela n’a pas de prix.
Autour les rires fusent et nous nous y joignons
Heureux de partager de si gais compagnons.
Et c’est par nos regards que s’échange l’amour
Qui nous unit plus fort un peu plus chaque jour.
Et moi je me sens vide, et moi je me sens nu,
Puisqu’elle est absente, que je ne l’ai revue
La vie n’a de couleurs puisqu’elle n’est venue.
La joie ne se partage que si elle est entière
Elle ne peut éclater si n’est pas la lumière
Celle qui dans mon cœur est constante prière
Merci que d’exister à celle qui m’est chère.
Quand soudain tout s’éclaire à sa seule arrivée
Quand la flamme ainsi s’en voit tant ravivée
Je me sens libéré d’une affreuse pensée
Celle de vivre seul une longue soirée.
Elle me prend la main puis elle me sourit
Elle dit tout le temps que cela lui a pris
De finir un travail qu’elle avait mal compris.
Mais que d’être avec moi, cela n’a pas de prix.
Autour les rires fusent et nous nous y joignons
Heureux de partager de si gais compagnons.
Et c’est par nos regards que s’échange l’amour
Qui nous unit plus fort un peu plus chaque jour.

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