Les Échos du monde.
Publié le 03 août 2025
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Souvent je n’en peux plus de ces échos du monde
Des milliers de malheurs qui frappent à la seconde
Du sentiment qui lors vient étreindre mon cœur
De rester impuissant, à vaincre ces horreurs.
Je coupe tous ces ponts qu’établissent les ondes
Ferme les écoutilles par lesquelles elles m’inondent.
Je pars ouvrir les yeux sur des chemins moins sombres
Je veux rester humain, mais loin de ces décombres.
Je m’en vais retrouver des sources d’équilibre,
Au milieu de ces prés où je me sens si libre
J’y respire un air chargé de ces effluves
Qui émanent des fleurs que le soleil étuve.
Ou je vais rencontrer des gens qui savent rire
Et qui savent chanter ce plaisir qu’est de vivre
Lorsque l’air est chargé de ces chansons d’amour
Qui nous font apprécier quand naît un nouveau jour.
Des milliers de malheurs qui frappent à la seconde
Du sentiment qui lors vient étreindre mon cœur
De rester impuissant, à vaincre ces horreurs.
Je coupe tous ces ponts qu’établissent les ondes
Ferme les écoutilles par lesquelles elles m’inondent.
Je pars ouvrir les yeux sur des chemins moins sombres
Je veux rester humain, mais loin de ces décombres.
Je m’en vais retrouver des sources d’équilibre,
Au milieu de ces prés où je me sens si libre
J’y respire un air chargé de ces effluves
Qui émanent des fleurs que le soleil étuve.
Ou je vais rencontrer des gens qui savent rire
Et qui savent chanter ce plaisir qu’est de vivre
Lorsque l’air est chargé de ces chansons d’amour
Qui nous font apprécier quand naît un nouveau jour.

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