Les bruits de la vie.
Publié le 03 août 2025
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Le chant du rossignol ne vit plus qu’en chanson
Et l’appel du coucou ne s’entend en saison.
Le grillon ne stridule plus qu’en rare occasion
Le cri de la chouette n’est plus qu’une illusion.
Les forêts sont muettes, tellement dépeuplées
Les campagnes trop nettes et dépourvues de haies
Les villes ne résonnent que du bruit des autos
De celui des avions qui volent tout là-haut.
J’habite un petit coin de ce pays de France
J’y mesure un peu plus et chaque jour ma chance
D’y être accompagné au cours de promenades
De ces présences amies qui sont mes camarades.
Je n’entends pas au loin les bruits que font les guerres
Je ressens les pulsions de ces vies dans ces terres
Même si elles ne sont si riches que naguère
Je me console avec ces signes solitaires.
Et l’appel du coucou ne s’entend en saison.
Le grillon ne stridule plus qu’en rare occasion
Le cri de la chouette n’est plus qu’une illusion.
Les forêts sont muettes, tellement dépeuplées
Les campagnes trop nettes et dépourvues de haies
Les villes ne résonnent que du bruit des autos
De celui des avions qui volent tout là-haut.
J’habite un petit coin de ce pays de France
J’y mesure un peu plus et chaque jour ma chance
D’y être accompagné au cours de promenades
De ces présences amies qui sont mes camarades.
Je n’entends pas au loin les bruits que font les guerres
Je ressens les pulsions de ces vies dans ces terres
Même si elles ne sont si riches que naguère
Je me console avec ces signes solitaires.

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