Les abîmes des hommes.
Publié le 03 août 2025
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Que ne furent explorées les abîmes des hommes
N’a-t-on fait mille fois de leurs défauts la somme ?
Que ne furent admirées leurs grandes qualités
Qui las point n’équilibrent cette méchanceté !
Quel sujet que cet être dans ses contradictions
Tantôt au précipice tantôt au sommet.
Soumis à ses passions et ses exaltations
Tantôt on le loue et tantôt on dit : mais...
Qu’il y faut d’énergie pour fabriquer un homme
Pour faire comme il faut sa bonne éducation.
Pour qu’il arrive en lui à donner coups de gomme
Et sur tous ses instincts avoir domination.
Car lorsque l’homme naît il n’est lors qu’une ébauche
Qui s’il n’est éduqué tombe dans la débauche.
Tout homme on le sait est digne de respect
Pourtant et en grand nombre sont des inachevés.
Des victimes partout accablées par le sort
Celui de la misère, de la faim, de la mort
Celui de l’injustice, de l’inégalité
Celui qui prive l’autre d’un monde de beauté.
Ceux-là n’ont cette chance d’entrevoir la lumière
Celle des connaissances et de la tolérance
De tout ce monde là même s’ils ont conscience
Ils ont plutôt appris eux à jeter des pierres.
Des pierres contre ceux qui leur barrent la route
Qui construisent sur eux cette prospérité
C’est bien cette attitude qui alors les dégoûte
Qui pousse au désespoir cette humanité.
On dit l’obscurantisme source de tous les maux
Mais c’est à qui la faute de n’avoir eu les mots
Et bien sûr les bons gestes contre ce vrai fléau
L’homme est bien pour l’homme le pire des bourreaux.
N’a-t-on fait mille fois de leurs défauts la somme ?
Que ne furent admirées leurs grandes qualités
Qui las point n’équilibrent cette méchanceté !
Quel sujet que cet être dans ses contradictions
Tantôt au précipice tantôt au sommet.
Soumis à ses passions et ses exaltations
Tantôt on le loue et tantôt on dit : mais...
Qu’il y faut d’énergie pour fabriquer un homme
Pour faire comme il faut sa bonne éducation.
Pour qu’il arrive en lui à donner coups de gomme
Et sur tous ses instincts avoir domination.
Car lorsque l’homme naît il n’est lors qu’une ébauche
Qui s’il n’est éduqué tombe dans la débauche.
Tout homme on le sait est digne de respect
Pourtant et en grand nombre sont des inachevés.
Des victimes partout accablées par le sort
Celui de la misère, de la faim, de la mort
Celui de l’injustice, de l’inégalité
Celui qui prive l’autre d’un monde de beauté.
Ceux-là n’ont cette chance d’entrevoir la lumière
Celle des connaissances et de la tolérance
De tout ce monde là même s’ils ont conscience
Ils ont plutôt appris eux à jeter des pierres.
Des pierres contre ceux qui leur barrent la route
Qui construisent sur eux cette prospérité
C’est bien cette attitude qui alors les dégoûte
Qui pousse au désespoir cette humanité.
On dit l’obscurantisme source de tous les maux
Mais c’est à qui la faute de n’avoir eu les mots
Et bien sûr les bons gestes contre ce vrai fléau
L’homme est bien pour l’homme le pire des bourreaux.

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