Lendemains de fête.
Publié le 03 août 2025
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Qu’y a-t-il dans nos têtes les lendemains de fêtes,
Qu’en a-t-on retiré sinon un mal de tête
D’avoir un peu trop bu, de s’être couché tard
Est-ce cela qu’on cherche lorsqu’on est fêtard ?
Effets collatéraux de la seule vraie quête
Celle de partager quelques moments de joie
Pour ça il faut chasser, ce qui gâte la fête
Ce qu’on a dans la tête, c’est pour ça que l’on boit.
Pour s’alléger un peu de ces poids dans nos têtes
De ce qui nous soucie, de ce qui nous embête
On mange, on danse, on boit, à faire tourner la tête
Pour voler des instants, en oubliant nos dettes.
On fait la nique au temps, impression de conquête
De ces moments volés, comme en suspension
Une réalité faite, juste pour ça en fait
Pour se sentir vivant, faut un peu de boisson.
Oui un peu mais pas trop, ça fait mal à la tête
Effets maman bobo des lendemains de fête
Où l’on va se traîner, avec l’idée en tête
Que la machinerie soit à nouveau bien prête
À affronter ces jours qui n’ont rien d’une fête
Qui vont remplir encore de choses plein nos têtes
Où on aura toujours cette obsession en tête
Quand est-ce qu’on pourra faire à nouveau la fête ?
Qu’en a-t-on retiré sinon un mal de tête
D’avoir un peu trop bu, de s’être couché tard
Est-ce cela qu’on cherche lorsqu’on est fêtard ?
Effets collatéraux de la seule vraie quête
Celle de partager quelques moments de joie
Pour ça il faut chasser, ce qui gâte la fête
Ce qu’on a dans la tête, c’est pour ça que l’on boit.
Pour s’alléger un peu de ces poids dans nos têtes
De ce qui nous soucie, de ce qui nous embête
On mange, on danse, on boit, à faire tourner la tête
Pour voler des instants, en oubliant nos dettes.
On fait la nique au temps, impression de conquête
De ces moments volés, comme en suspension
Une réalité faite, juste pour ça en fait
Pour se sentir vivant, faut un peu de boisson.
Oui un peu mais pas trop, ça fait mal à la tête
Effets maman bobo des lendemains de fête
Où l’on va se traîner, avec l’idée en tête
Que la machinerie soit à nouveau bien prête
À affronter ces jours qui n’ont rien d’une fête
Qui vont remplir encore de choses plein nos têtes
Où on aura toujours cette obsession en tête
Quand est-ce qu’on pourra faire à nouveau la fête ?

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