Le silence et la paix.
Publié le 03 août 2025
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Quand les frémissements sont ceux de la nature
Ils nous émeuvent tant qu’on en reste muet,
Les feuilles dans le vent qui juste nous murmurent
D’écouter le silence et de ne remuer.
Quand surgit le frisson sur la peau qui exulte
Comme un friselis qui court coquin sur l’eau
Écoute mieux ton cœur et son soudain tumulte
Quand à l’exquis plaisir, il vient faire écho.
Dans le clapotement de l’eau sur les rochers
Qui répète inlassable l’humeur de la marée,
Rappelle toi alors que tu es venu chercher
La réponse muette qui va te réparer.
Partout des vibrations, partout des tremblements
Rien ne reste immobile même au cœur des montagnes
Où l’eau creuse sans cesse par ses écoulements
Les chemins par lesquels le grand jour elle gagne.
Nous sommes tout pareil des êtres en mouvement
Qui cherche quelque chose et bougent vainement.
Repose-toi un peu et contemple le monde
Et goûte à sa paix fut-ce quelques secondes.
Ils nous émeuvent tant qu’on en reste muet,
Les feuilles dans le vent qui juste nous murmurent
D’écouter le silence et de ne remuer.
Quand surgit le frisson sur la peau qui exulte
Comme un friselis qui court coquin sur l’eau
Écoute mieux ton cœur et son soudain tumulte
Quand à l’exquis plaisir, il vient faire écho.
Dans le clapotement de l’eau sur les rochers
Qui répète inlassable l’humeur de la marée,
Rappelle toi alors que tu es venu chercher
La réponse muette qui va te réparer.
Partout des vibrations, partout des tremblements
Rien ne reste immobile même au cœur des montagnes
Où l’eau creuse sans cesse par ses écoulements
Les chemins par lesquels le grand jour elle gagne.
Nous sommes tout pareil des êtres en mouvement
Qui cherche quelque chose et bougent vainement.
Repose-toi un peu et contemple le monde
Et goûte à sa paix fut-ce quelques secondes.

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