Le long de la Têt.
Publié le 03 août 2025
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Sur les sentiers givrés qui côtoient la rivière
Où jouent à tout instant l’ombre et la lumière
Je suis allé flâné chaudement habillé
Le nez à peine au vent et bien emmitouflé.
En d’amusants objets, en des jouets géants
Comme autant d’esquifs à l’encre si charmants
La magie de l’hiver s’exerce sans malice
Tandis que sous mes pas la neige un peu glisse.
J’aime cette nature marquée de noir et blanc
Offrant bien des visages sous ses reflets changeants
Quand ciel et sapins ajoutent ces couleurs
Qui donnent au tableau une once de chaleur.
Où jouent à tout instant l’ombre et la lumière
Je suis allé flâné chaudement habillé
Le nez à peine au vent et bien emmitouflé.
En d’amusants objets, en des jouets géants
Comme autant d’esquifs à l’encre si charmants
La magie de l’hiver s’exerce sans malice
Tandis que sous mes pas la neige un peu glisse.
J’aime cette nature marquée de noir et blanc
Offrant bien des visages sous ses reflets changeants
Quand ciel et sapins ajoutent ces couleurs
Qui donnent au tableau une once de chaleur.

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