Le ciel comme la mer, emprunte à la couleur
Publié le 03 août 2025
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Dont chacun sait tirer, on le sait le meilleur
Explorant ses nuances du bleu le plus profond
À cet azur magique, dans lequel tout se fond.
Une âme douloureuse se teinte ainsi parfois
Tous comme sur le corps, ces traces qui se voient
C’est la couleur du sang, lorsqu’il est hématome
Celle de la souffrance, que peut connaître l’homme.
Celle dont on affuble toujours le débutant
Celui avec lequel, il faut prendre des gants
La peur la plus violente, prend cette couleur bleue
Lorsque le cœur s’emballe, puis s’arrête un peu.
Corolles de gentianes, dans les prés au printemps
Qui brille sur la plume de l’oiseau dans le vent
Le bleu sème partout ses beaux reflets changeant
Il habille la terre, depuis l’aube des temps.
Le bleu que je préfère illumine tes yeux
Et à dire le vrai, il me fascine un peu
Parfois il est si clair que je peux m’y mirer
Mais d’autres fois si sombre, que je n’y peux plonger.
Explorant ses nuances du bleu le plus profond
À cet azur magique, dans lequel tout se fond.
Une âme douloureuse se teinte ainsi parfois
Tous comme sur le corps, ces traces qui se voient
C’est la couleur du sang, lorsqu’il est hématome
Celle de la souffrance, que peut connaître l’homme.
Celle dont on affuble toujours le débutant
Celui avec lequel, il faut prendre des gants
La peur la plus violente, prend cette couleur bleue
Lorsque le cœur s’emballe, puis s’arrête un peu.
Corolles de gentianes, dans les prés au printemps
Qui brille sur la plume de l’oiseau dans le vent
Le bleu sème partout ses beaux reflets changeant
Il habille la terre, depuis l’aube des temps.
Le bleu que je préfère illumine tes yeux
Et à dire le vrai, il me fascine un peu
Parfois il est si clair que je peux m’y mirer
Mais d’autres fois si sombre, que je n’y peux plonger.

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