Le chant des profondeurs
Publié le 03 août 2025
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Tu sembles une mer, dans laquelle je plonge,
Sans jamais espérer la connaître vraiment.
Tant je sais, oh combien, ce sentiment nous ment
Quand ce qu’on voit de l’autre, n’est que le fruit d’un songe.
Pourtant un cauchemar me hante et me ronge
Au point de devenir le pire des tourments.
Serais-tu comme un piège, dans lequel les amants,
En regardant les cieux, tout doucement s’allongent ?
Tu es le ciel nocturne dans lequel je me perds
Où brillerait la lune comme un fanal pervers
À rechercher ta place au milieu de ces ombres.
Tu as la patience qu’ont toujours les marées
Quand le ressac remue l’écume et la pénombre
Quand tu parais t’offrir sans jamais te livrer.
Sans jamais espérer la connaître vraiment.
Tant je sais, oh combien, ce sentiment nous ment
Quand ce qu’on voit de l’autre, n’est que le fruit d’un songe.
Pourtant un cauchemar me hante et me ronge
Au point de devenir le pire des tourments.
Serais-tu comme un piège, dans lequel les amants,
En regardant les cieux, tout doucement s’allongent ?
Tu es le ciel nocturne dans lequel je me perds
Où brillerait la lune comme un fanal pervers
À rechercher ta place au milieu de ces ombres.
Tu as la patience qu’ont toujours les marées
Quand le ressac remue l’écume et la pénombre
Quand tu parais t’offrir sans jamais te livrer.

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