La virée des Bassettes.
Publié le 03 août 2025
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C'est un temps idéal qui ce jour s'offre à nous
Pour engager nos pas dans les chemins tracés
Aussi bien par les bêtes que par les randonnées
Qui mènent aux Bassettes un lieu très loin de tout.
En colonne tranquille doucement avançons
D'un souffle très paisible poussant sur nos bâtons
Le long d'une rivière le Galbe est son nom
Dans la vallée glaciaire elle coule au fond.
L'endroit est fort sauvage on y voit des oiseaux
Quelques uns des rapaces qui nichent tout là -haut
Seul les bruits des torrents aussi celui du vent
Animent le grand calme l'espace environnant.
Parfois le cri strident d'alerte des marmottes
Vrille un peu nos tympans au cours de cette trotte
Et le fougueux Samy, en parfait chien de chasse
Comme une fusée alors tous nous dépasse.
Après de douces pentes que nous fimes en parlant
Un rude raidillon nous montons en soufflant
Avant que d'arriver, suprême récompense
Sur le replat au pied des beaux sommets immenses.
Après tous ces efforts un peu de réconfort
Nous nous restaurons bien dessous un contrefort
Abrités de la brise sur terrasses au soleil
Nous savourons enfin la vallée des merveilles.
Puis s'en vient le retour sous un ciel sans nuage
Ils sont époustouflants tous ces beaux paysages
Nous voyons sous un pin les restes éparpillés
D'une jeune brebis dévorée, nettoyée.
Le reste du chemin se fait avec entrain
Chacun soit méditant, soit plus souvent parlant
Nous montons en voiture pour reprendre la piste
Dont l'état dégradé hélas bien nous attriste.
Nous nous rappellerons ce tour sans prétention
De ces moments de grâce offerts par l'excursion
La virée des Bassettes du côté d'Espouillouse
A de quoi les Bouillouses les rendre un peu jalouses.
Pour engager nos pas dans les chemins tracés
Aussi bien par les bêtes que par les randonnées
Qui mènent aux Bassettes un lieu très loin de tout.
En colonne tranquille doucement avançons
D'un souffle très paisible poussant sur nos bâtons
Le long d'une rivière le Galbe est son nom
Dans la vallée glaciaire elle coule au fond.
L'endroit est fort sauvage on y voit des oiseaux
Quelques uns des rapaces qui nichent tout là -haut
Seul les bruits des torrents aussi celui du vent
Animent le grand calme l'espace environnant.
Parfois le cri strident d'alerte des marmottes
Vrille un peu nos tympans au cours de cette trotte
Et le fougueux Samy, en parfait chien de chasse
Comme une fusée alors tous nous dépasse.
Après de douces pentes que nous fimes en parlant
Un rude raidillon nous montons en soufflant
Avant que d'arriver, suprême récompense
Sur le replat au pied des beaux sommets immenses.
Après tous ces efforts un peu de réconfort
Nous nous restaurons bien dessous un contrefort
Abrités de la brise sur terrasses au soleil
Nous savourons enfin la vallée des merveilles.
Puis s'en vient le retour sous un ciel sans nuage
Ils sont époustouflants tous ces beaux paysages
Nous voyons sous un pin les restes éparpillés
D'une jeune brebis dévorée, nettoyée.
Le reste du chemin se fait avec entrain
Chacun soit méditant, soit plus souvent parlant
Nous montons en voiture pour reprendre la piste
Dont l'état dégradé hélas bien nous attriste.
Nous nous rappellerons ce tour sans prétention
De ces moments de grâce offerts par l'excursion
La virée des Bassettes du côté d'Espouillouse
A de quoi les Bouillouses les rendre un peu jalouses.

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