La musique est partout.
Publié le 03 août 2025
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Qui donc de la musique en aurait plein le dos ?
Ce n’est que dos au mur qu’on étouffe les mots
Les notes n’ont besoin de bouches pour sonner
Juste des mains agiles pour leurs gammes donner.
Un arrêt sur image mais jamais sur un son
Qui résonne toujours aux oreilles attentives
Réjouissant nos humeurs, ou las cela arrive
Signant l’arrêt d’un cœur au fond d’une maison.
La vie est un miracle et la musique aussi
Toute deux dansent amies, enlacées, c’est ainsi
Admirer leurs formes comme leurs variations
Misère si vous ne ressentez d’émotions.
Fabuleuses musiques, farandoles exquises
Parmi les fanfreluches comme les falbalas
Fâcheux sont bien tous ceux qui n’en jouissent jamais
Fades seront leur vies et cela à jamais.
Même les solitaires au creux de leur silence
Entendent la musique de leur cœur quand il bat
Monotone solfège pour ces ermites là
Confrontés à la vie, insoluble présence.
Lassitude parfois pour quelque ritournelle
L’habitude ne rend pas les choses plus belles
La façon la meilleure pour nous donner le la
Est de chanter sa joie simplement d’être là.
Et si au bout du compte on ne l’a rencontrée
La musique est partout il suffit de siffler
Même dans le silence, le si se fait entendre
Éternelle question à laquelle se rendre.
Ce n’est que dos au mur qu’on étouffe les mots
Les notes n’ont besoin de bouches pour sonner
Juste des mains agiles pour leurs gammes donner.
Un arrêt sur image mais jamais sur un son
Qui résonne toujours aux oreilles attentives
Réjouissant nos humeurs, ou las cela arrive
Signant l’arrêt d’un cœur au fond d’une maison.
La vie est un miracle et la musique aussi
Toute deux dansent amies, enlacées, c’est ainsi
Admirer leurs formes comme leurs variations
Misère si vous ne ressentez d’émotions.
Fabuleuses musiques, farandoles exquises
Parmi les fanfreluches comme les falbalas
Fâcheux sont bien tous ceux qui n’en jouissent jamais
Fades seront leur vies et cela à jamais.
Même les solitaires au creux de leur silence
Entendent la musique de leur cœur quand il bat
Monotone solfège pour ces ermites là
Confrontés à la vie, insoluble présence.
Lassitude parfois pour quelque ritournelle
L’habitude ne rend pas les choses plus belles
La façon la meilleure pour nous donner le la
Est de chanter sa joie simplement d’être là.
Et si au bout du compte on ne l’a rencontrée
La musique est partout il suffit de siffler
Même dans le silence, le si se fait entendre
Éternelle question à laquelle se rendre.

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