La météo du coeur
Publié le 03 août 2025
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La lumière du jour agit sur mon humeur
Elle répand l’énergie tout au fond de mon coeur
Lorsqu’elle pâlit trop c’est un jour de malheur
Si elle brille haut c’est pour mon grand bonheur.
Dans tout ce que j’écris il y a ma météo
Soit je suis au plus bas, soit je vole très haut
Toujours je me débats entre ces sens contraires
Un jour dans les enfers et l’autre dans les airs.
La lumière est le filtre, tamis de mes pensées
Et ce à plus d’un titre, puisqu’elle peut m’éclairer
Quand elle est intense, elle m’ouvre à la beauté
Mais quand elle décline, sombres sont mes idées.
Je vis chaque instant comme au diapason
De tout ce que me dicte le ton de la saison
Aujourd’hui grand soleil alors je m’émerveille
Demain sous les nuages, ma vie sera en veille.
Vous dirai-je la chance d’avoir pour moi tout seul
Au cœur de ma maison je lui fais un clin d’œil
Cet amour qui m’éclaire au feu de ses sourires
M’apportant sa chaleur quand dehors c’est le pire.
La couleur de mes mots, l’ardeur de mon stylo
Dépendent fort aussi de cette météo
Si elle est chagrine, sa tristesse me mine
Si elle est câline, tout elle illumine.
Elle répand l’énergie tout au fond de mon coeur
Lorsqu’elle pâlit trop c’est un jour de malheur
Si elle brille haut c’est pour mon grand bonheur.
Dans tout ce que j’écris il y a ma météo
Soit je suis au plus bas, soit je vole très haut
Toujours je me débats entre ces sens contraires
Un jour dans les enfers et l’autre dans les airs.
La lumière est le filtre, tamis de mes pensées
Et ce à plus d’un titre, puisqu’elle peut m’éclairer
Quand elle est intense, elle m’ouvre à la beauté
Mais quand elle décline, sombres sont mes idées.
Je vis chaque instant comme au diapason
De tout ce que me dicte le ton de la saison
Aujourd’hui grand soleil alors je m’émerveille
Demain sous les nuages, ma vie sera en veille.
Vous dirai-je la chance d’avoir pour moi tout seul
Au cœur de ma maison je lui fais un clin d’œil
Cet amour qui m’éclaire au feu de ses sourires
M’apportant sa chaleur quand dehors c’est le pire.
La couleur de mes mots, l’ardeur de mon stylo
Dépendent fort aussi de cette météo
Si elle est chagrine, sa tristesse me mine
Si elle est câline, tout elle illumine.

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