La dérive des continents.
Publié le 03 août 2025
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Autrefois survenait tout soudain un effroi.
La guerre déclarée, tous les cœurs avaient froid.
Tous savaient que demain ne serait comme hier.
À l’idée de combattre, bien peu se sentaient fiers.
À présent que la guerre est sournoise et partout,
C’est lorsqu’un grand allié se dit, mais après tout,
Quel intérêt aurais-je donc à les soutenir ?
Qu’ainsi abandonnés, tous se mettent à frémir.
Car ce monde est en guerre, combien en doutent ? Guère !
Rien ne semble pourtant comme ce fut naguère,
De grands équilibres garantissaient la paix.
L’avenir est bien sombre et le mystère épais.
Les continents dérivent les alliances aussi
L’Europe se voulait pourtant très pacifique
Sans comprendre qu’un jour autour du Pacifique
Se jouerait son destin, car hélas c’est ainsi.
Les ennemis d’hier, si irréconciliables,
À s’entendre, soudain, se sont montrés capables
Sur le dos de l’Europe un peu tétanisée,
Et désormais du monde, nous sommes la risée.
Nous étions arrogants du fait de nos richesses
Fiers de cette paix qui n’avait pas de cesse.
Nous faisions la leçon à de nombreux pays,
Sans voir que de ce fait, nous étions las haïs.
À l’ombre du grand frère, nous n’avions pour souci
Qu’améliorer sans cesse notre mode de vie.
Lors préparer la guerre n’avait guère de sens,
Puisqu'elle semblait bannie de nos existences.
Le glas vient de donner sur cette insouciance
Dans beaucoup de pays et bien sûr en France.
Cette réalité surgie dans nos consciences
Va sans doute exiger bien plus que ce qu’on pense.
La guerre déclarée, tous les cœurs avaient froid.
Tous savaient que demain ne serait comme hier.
À l’idée de combattre, bien peu se sentaient fiers.
À présent que la guerre est sournoise et partout,
C’est lorsqu’un grand allié se dit, mais après tout,
Quel intérêt aurais-je donc à les soutenir ?
Qu’ainsi abandonnés, tous se mettent à frémir.
Car ce monde est en guerre, combien en doutent ? Guère !
Rien ne semble pourtant comme ce fut naguère,
De grands équilibres garantissaient la paix.
L’avenir est bien sombre et le mystère épais.
Les continents dérivent les alliances aussi
L’Europe se voulait pourtant très pacifique
Sans comprendre qu’un jour autour du Pacifique
Se jouerait son destin, car hélas c’est ainsi.
Les ennemis d’hier, si irréconciliables,
À s’entendre, soudain, se sont montrés capables
Sur le dos de l’Europe un peu tétanisée,
Et désormais du monde, nous sommes la risée.
Nous étions arrogants du fait de nos richesses
Fiers de cette paix qui n’avait pas de cesse.
Nous faisions la leçon à de nombreux pays,
Sans voir que de ce fait, nous étions las haïs.
À l’ombre du grand frère, nous n’avions pour souci
Qu’améliorer sans cesse notre mode de vie.
Lors préparer la guerre n’avait guère de sens,
Puisqu'elle semblait bannie de nos existences.
Le glas vient de donner sur cette insouciance
Dans beaucoup de pays et bien sûr en France.
Cette réalité surgie dans nos consciences
Va sans doute exiger bien plus que ce qu’on pense.

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