La danse du sabbat.
Publié le 03 août 2025
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Le soleil brillait fort en ces jours de décembre
Et les hommes riaient sous cet astre radieux
Oublieux de ces neiges qui se font tant attendre
Et qui sont si utiles aux printemps généreux.
Le monde a trop chaud mais ne s’inquiète guère
Il continue idiot à se faire la guerre
Il n’y a que les manchots à trouver que la terre
Devient, mais c’est trop tôt, bien inhospitalière.
Entend l’orchestre joue sur le pont supérieur
L’eau envahit les cales mais l’esprit est farceur
On veut tout tout de suite et bien sûr le meilleur
L’éloge de la fuite on le fera ailleurs.
Les hommes se disputent, j’entends leur brouhaha
Mais ça ne se discute, le futur est bien là
Même que l’on y va et pas cahin-caha
Et à grande vitesse, le temps donne le la.
Il y eu des époques pour les autodafés
On y brûlait des livres remplis de ces pensées
De celles qui gênaient ou bien embarrassaient
Un pouvoir trop borné pour vouloir en changer.
Ce ne sont plus des livres que l’on pourrait brûler
Pour que des peuples entiers n’y puissent accéder
Les signes sont partout et sont aux yeux de tous
Pour dire arrêtez-vous, quelle folie vous pousse ?
La danse du sabbat au dessus des volcans
Celle que l’homme joue tous les jours à présent
Ceux qui rient attention ne sont assez puissants
Pour freiner la machine que mène les déments.
Et les hommes riaient sous cet astre radieux
Oublieux de ces neiges qui se font tant attendre
Et qui sont si utiles aux printemps généreux.
Le monde a trop chaud mais ne s’inquiète guère
Il continue idiot à se faire la guerre
Il n’y a que les manchots à trouver que la terre
Devient, mais c’est trop tôt, bien inhospitalière.
Entend l’orchestre joue sur le pont supérieur
L’eau envahit les cales mais l’esprit est farceur
On veut tout tout de suite et bien sûr le meilleur
L’éloge de la fuite on le fera ailleurs.
Les hommes se disputent, j’entends leur brouhaha
Mais ça ne se discute, le futur est bien là
Même que l’on y va et pas cahin-caha
Et à grande vitesse, le temps donne le la.
Il y eu des époques pour les autodafés
On y brûlait des livres remplis de ces pensées
De celles qui gênaient ou bien embarrassaient
Un pouvoir trop borné pour vouloir en changer.
Ce ne sont plus des livres que l’on pourrait brûler
Pour que des peuples entiers n’y puissent accéder
Les signes sont partout et sont aux yeux de tous
Pour dire arrêtez-vous, quelle folie vous pousse ?
La danse du sabbat au dessus des volcans
Celle que l’homme joue tous les jours à présent
Ceux qui rient attention ne sont assez puissants
Pour freiner la machine que mène les déments.

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