La cité de la langue française.
Publié le 03 août 2025
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La langue française a été bien fêtée
À présent qu’elle a enfin droit de cité
A Villers-Coterets là où François premier
En imposa l’usage officiel désormais.
En place du latin et ce dans tous les actes
La langue et le pays passèrent alors un pacte
Une langue qui est une part de nous mêmes
Des mots, des tournures qui nous bercent et qu’on aime.
J’en goûte l’harmonie lorsque je la prononce
Et les sons, dans ma tête, dès que les mots s’annoncent.
Je découvre tous ceux que dans d’autres pays
Des gens ont ajoutés qui la parlent aussi.
Certains voudraient la voir comme un oiseau en cage
Aimeraient en figer la forme et les usages
Mais elle n’a pour frontières que celles de ce monde
Qui la rendent vivante, qui la rendent féconde.
Elle sait se marier avec d’autres langages
Comme leur emprunter sans les mettre en gage
Les mots qui disent mieux l’émotion ou l’objet
Elle n’a pour principe ou règle le rejet.
Je la loue, je l’admire, pour cette liberté
Qui n’empêche en rien une fidélité
A tout ce qui la fonde et qui forge son âme
Ce lien entre les hommes que sans cesse elle clame.
Que vive cette langue à travers les pays
Qu’elle y porte la flamme d’être libre et en vie
Qu’en soient traduits aussi tous ses grands auteurs
qui forgèrent leurs œuvres avec la langue au cœur.
Toute occasion est bonne pour chanter le français
Et pour le célébrer ce n’est jamais assez
Mais surtout le parler, encore plus l’écrire
Ce ne sera assez ni trop que de le dire.
À présent qu’elle a enfin droit de cité
A Villers-Coterets là où François premier
En imposa l’usage officiel désormais.
En place du latin et ce dans tous les actes
La langue et le pays passèrent alors un pacte
Une langue qui est une part de nous mêmes
Des mots, des tournures qui nous bercent et qu’on aime.
J’en goûte l’harmonie lorsque je la prononce
Et les sons, dans ma tête, dès que les mots s’annoncent.
Je découvre tous ceux que dans d’autres pays
Des gens ont ajoutés qui la parlent aussi.
Certains voudraient la voir comme un oiseau en cage
Aimeraient en figer la forme et les usages
Mais elle n’a pour frontières que celles de ce monde
Qui la rendent vivante, qui la rendent féconde.
Elle sait se marier avec d’autres langages
Comme leur emprunter sans les mettre en gage
Les mots qui disent mieux l’émotion ou l’objet
Elle n’a pour principe ou règle le rejet.
Je la loue, je l’admire, pour cette liberté
Qui n’empêche en rien une fidélité
A tout ce qui la fonde et qui forge son âme
Ce lien entre les hommes que sans cesse elle clame.
Que vive cette langue à travers les pays
Qu’elle y porte la flamme d’être libre et en vie
Qu’en soient traduits aussi tous ses grands auteurs
qui forgèrent leurs œuvres avec la langue au cœur.
Toute occasion est bonne pour chanter le français
Et pour le célébrer ce n’est jamais assez
Mais surtout le parler, encore plus l’écrire
Ce ne sera assez ni trop que de le dire.

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