La belle Cerdagne.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
8 lecture
(0)
Dans la belle Cerdagne m’en allant folâtrer
L’herbe y est si verte que je m’y suis roulé
Dans la vallée étroite m’étant aventuré
L’eau y était si claire que je m’y suis trempé
L’air y était si pur que j’ai pris des goulées
A m’en tourner la tête, je voulais m’envoler
Chevaucher les nuages là haut qui voyageaient
Dans le ciel catalan, tels des vaisseaux légers.
Les montagnes enchaînaient leurs sommets surprenants
En arrondis superbes ou en montrant leurs dents
Dans la belle Cerdagne, allant vagabonder
Je crois sur quelques uns, être alors monté.
De là haut quelle vue, tous ces près qui s’étalent
Ces bourgades semées, entourées de forêts
Ces rivières en cascades qui dévalent partout
Qui coulent généreuses pour chacun d’entre nous.
De la belle Cerdagne, m’y étant installé
J’en célèbre les charmes, j’en suis même envoûté
Et les gens qui y vivent, sont tous à cette image
Simples, rudes, accueillants et je leur rend hommage.
L’herbe y est si verte que je m’y suis roulé
Dans la vallée étroite m’étant aventuré
L’eau y était si claire que je m’y suis trempé
L’air y était si pur que j’ai pris des goulées
A m’en tourner la tête, je voulais m’envoler
Chevaucher les nuages là haut qui voyageaient
Dans le ciel catalan, tels des vaisseaux légers.
Les montagnes enchaînaient leurs sommets surprenants
En arrondis superbes ou en montrant leurs dents
Dans la belle Cerdagne, allant vagabonder
Je crois sur quelques uns, être alors monté.
De là haut quelle vue, tous ces près qui s’étalent
Ces bourgades semées, entourées de forêts
Ces rivières en cascades qui dévalent partout
Qui coulent généreuses pour chacun d’entre nous.
De la belle Cerdagne, m’y étant installé
J’en célèbre les charmes, j’en suis même envoûté
Et les gens qui y vivent, sont tous à cette image
Simples, rudes, accueillants et je leur rend hommage.
Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.