Jusquau creux des rochers.
Publié le 03 août 2025
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La plage s’étendait aussi loin que la vue
L’espace était désert et ce lieu inconnu
Les vagues s’étalaient mollement sur la grève
Et la lune y jouait comme elle fait dans les rêves.
Le seul bruit qui troublait ce silence intense
Était le doux ressac quand la mer se balance
Jusqu’aux oiseaux dans l’air qui glissaient silencieux
Ne voulant déchirer un calme si précieux.
Mais voilà tout soudain que le sable s’agite
Tout comme s’il bouillait sans que rien ne l’explique
Alors mille tortues surgissent à la va-vite
Jonchant de taches noires ce recoin des tropiques.
Car la vie est partout visible ou invisible
Jusqu’au creux des rochers tout fendus par le givre
On devine partout sa force invincible
Amoureuse de l’eau, de soleil même ivre.
Sur La terre ou l’onde, la plage ou la mer
Par dessus les montagnes et volant dans l’éther
Les vies sont innombrables dans leur effervescence
Qui donnent à ce monde cette magnificence.
L’espace était désert et ce lieu inconnu
Les vagues s’étalaient mollement sur la grève
Et la lune y jouait comme elle fait dans les rêves.
Le seul bruit qui troublait ce silence intense
Était le doux ressac quand la mer se balance
Jusqu’aux oiseaux dans l’air qui glissaient silencieux
Ne voulant déchirer un calme si précieux.
Mais voilà tout soudain que le sable s’agite
Tout comme s’il bouillait sans que rien ne l’explique
Alors mille tortues surgissent à la va-vite
Jonchant de taches noires ce recoin des tropiques.
Car la vie est partout visible ou invisible
Jusqu’au creux des rochers tout fendus par le givre
On devine partout sa force invincible
Amoureuse de l’eau, de soleil même ivre.
Sur La terre ou l’onde, la plage ou la mer
Par dessus les montagnes et volant dans l’éther
Les vies sont innombrables dans leur effervescence
Qui donnent à ce monde cette magnificence.

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