Je menlève.
Publié le 03 août 2025
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À la brise de mer qui caresse mon front,
À ces embruns légers qui humectent ma peau,
À ces vagues incessantes au creux de mon oreille,
À l’odeur de varech qui flotte aussi dans l’air,
Je confie mon humeur, mes rêves de voyages
Je tiens les yeux fermés, je suis déjà au large.
Sur un bateau léger toutes voiles dehors
J’ai largué les amarres, je suis bien à son bord.
À ce picotement que fait le vent de sable
À l’onde de chaleur qui envahit mon corps
À cette ombre propice qui garde du soleil
À la fraîcheur complice de la case de terre
Je confie mon humeur, mes rêves de voyage
Je tiens les yeux fermés, au milieu des bagages
Au dos du dromadaire je m’en vais chalouper
Au milieu du désert dans une méharée.
À ce doux frôlement des flocons sur ma peau
Et à ce vent coulis porteur d’ondes glaciales
À cette odeur de bois lorsque il est mouillé
À ce toussotement qu’entraîne la fumée
Je confie mes humeurs, mes rêves de voyage
Je tiens les yeux fermés, en écoutant l’orage
Quand les chiens de traîneau m’entraîne sur la glace
Que près d’un feu de camp, je me fais une place.
De choses anodines, je tisse tous mes rêves
Il me suffit de peu pour que la vie m’enlève
De mille sensations, je tire une sève
Par l’imagination je vis et je m’élève.
À ces embruns légers qui humectent ma peau,
À ces vagues incessantes au creux de mon oreille,
À l’odeur de varech qui flotte aussi dans l’air,
Je confie mon humeur, mes rêves de voyages
Je tiens les yeux fermés, je suis déjà au large.
Sur un bateau léger toutes voiles dehors
J’ai largué les amarres, je suis bien à son bord.
À ce picotement que fait le vent de sable
À l’onde de chaleur qui envahit mon corps
À cette ombre propice qui garde du soleil
À la fraîcheur complice de la case de terre
Je confie mon humeur, mes rêves de voyage
Je tiens les yeux fermés, au milieu des bagages
Au dos du dromadaire je m’en vais chalouper
Au milieu du désert dans une méharée.
À ce doux frôlement des flocons sur ma peau
Et à ce vent coulis porteur d’ondes glaciales
À cette odeur de bois lorsque il est mouillé
À ce toussotement qu’entraîne la fumée
Je confie mes humeurs, mes rêves de voyage
Je tiens les yeux fermés, en écoutant l’orage
Quand les chiens de traîneau m’entraîne sur la glace
Que près d’un feu de camp, je me fais une place.
De choses anodines, je tisse tous mes rêves
Il me suffit de peu pour que la vie m’enlève
De mille sensations, je tire une sève
Par l’imagination je vis et je m’élève.

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