Jamais à linverse.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
6 lecture
(0)
On n’est vraiment le même que l’on était hier
Faut-il le regretter ou bien en être fier ?
Je crains ni l’un ni l’autre, on n’y peut rien changer
Déjà le moi d’hier, n’est plus qu’un étranger.
Avec le temps qui fuit on fait bien des rencontres
Avec de nombreux moi plus que ce qu’on raconte.
Si certains nous conviennent, d’autres ne nous agréent
Mais on s’en accommode de bon ou mauvais gré.
Quand les pas en avant sont des pas en arrière
Que le meilleur nous semble être resté derrière
Il vaut mieux accueillir qui l’on sera demain
Lui faire un sourire et lui tendre la main.
Il nous tendra les bras comme à un camarade
En sachant mieux que nous ce qu’attend la camarde,
Nous ne serons pour lui que d’anciens souvenirs
Pour éclairer sa route, l’aider à voir venir.
On n’est jamais le même que l’on sera demain
Sur la route qu’on suit, sur son propre chemin
On a parfois le choix des chemins de traverse
Mais toujours par devant, et jamais à l’inverse.
Faut-il le regretter ou bien en être fier ?
Je crains ni l’un ni l’autre, on n’y peut rien changer
Déjà le moi d’hier, n’est plus qu’un étranger.
Avec le temps qui fuit on fait bien des rencontres
Avec de nombreux moi plus que ce qu’on raconte.
Si certains nous conviennent, d’autres ne nous agréent
Mais on s’en accommode de bon ou mauvais gré.
Quand les pas en avant sont des pas en arrière
Que le meilleur nous semble être resté derrière
Il vaut mieux accueillir qui l’on sera demain
Lui faire un sourire et lui tendre la main.
Il nous tendra les bras comme à un camarade
En sachant mieux que nous ce qu’attend la camarde,
Nous ne serons pour lui que d’anciens souvenirs
Pour éclairer sa route, l’aider à voir venir.
On n’est jamais le même que l’on sera demain
Sur la route qu’on suit, sur son propre chemin
On a parfois le choix des chemins de traverse
Mais toujours par devant, et jamais à l’inverse.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.