Impasse ( petit conte naïf)
Publié le 03 août 2025
2 minutes de lecture
7 lecture
(0)
Pourquoi donc t’épargner ? Tu as tant à m’offrir à dit l’homme à sa terre, je n’ai qu’à me servir.
Mon dieu m’a dit la Terre mon enfant est à toi, jouis-en et prospère, elle est ton domaine.
L’autre homme là-bas il est ton ennemi, il veut tout comme toi prendre ce qui est à lui
Mais cela est à toi si tu es le plus fort, mais cela est à toi même s’il n’est d’accord.
Fais des enfants autant que tu peux en nourrir car ton nombre est une arme contre ton ennemi, crois donc et multiplie autant que le pourras, car ta force dépend du nombre de tes bras.
Et ainsi va le monde depuis que l’homme est l’homme, ainsi agissent-ils sans poser de question.
Pourquoi donc t’épargner a dit la Terre a l’homme? Tu n’a rien à m’offrir que les mille balafres, que les mille poisons que sur moi tu déverses, que les mille ponctions que en moi tu opères. Tant que tu n’étais qu’une des vies qui sur moi grouillent je pouvais te laisser commettre tes erreurs, à présent que hélas tu détruis tout ce qui bouge je ne puis accepter ton règne de malheurs.
Car tu n’es rien sans moi et ce que je te donne, car tu dépends de moi comme fait toute vie.
Mais il n’y de dialogue entre l’homme et la Terre, juste un malentendu une sorte de guerre. On sait qui la perdra, car plus l’homme s’obstine à ne vouloir que croître, plus il se condamne à un jour disparaître.
Homme ouvre les yeux, plus, ouvre ton esprit et arrive à sentir que tu n’es qu’une espèce parmi des millions d’autres, au milieu des vivants que pourtant tu agresses,
Le chemin que tu as pris n’est au bout qu’une impasse
Il n’y a que la Terre pour t’accorder sa grâce
si tu changes,
si tu t’apaises, si tu respectes, si tu protèges, si tu préserves,
si tu acceptes de n’être plus le seigneur ou le maître, mais l’humble serviteur de toute la biosphère.
Mon dieu m’a dit la Terre mon enfant est à toi, jouis-en et prospère, elle est ton domaine.
L’autre homme là-bas il est ton ennemi, il veut tout comme toi prendre ce qui est à lui
Mais cela est à toi si tu es le plus fort, mais cela est à toi même s’il n’est d’accord.
Fais des enfants autant que tu peux en nourrir car ton nombre est une arme contre ton ennemi, crois donc et multiplie autant que le pourras, car ta force dépend du nombre de tes bras.
Et ainsi va le monde depuis que l’homme est l’homme, ainsi agissent-ils sans poser de question.
Pourquoi donc t’épargner a dit la Terre a l’homme? Tu n’a rien à m’offrir que les mille balafres, que les mille poisons que sur moi tu déverses, que les mille ponctions que en moi tu opères. Tant que tu n’étais qu’une des vies qui sur moi grouillent je pouvais te laisser commettre tes erreurs, à présent que hélas tu détruis tout ce qui bouge je ne puis accepter ton règne de malheurs.
Car tu n’es rien sans moi et ce que je te donne, car tu dépends de moi comme fait toute vie.
Mais il n’y de dialogue entre l’homme et la Terre, juste un malentendu une sorte de guerre. On sait qui la perdra, car plus l’homme s’obstine à ne vouloir que croître, plus il se condamne à un jour disparaître.
Homme ouvre les yeux, plus, ouvre ton esprit et arrive à sentir que tu n’es qu’une espèce parmi des millions d’autres, au milieu des vivants que pourtant tu agresses,
Le chemin que tu as pris n’est au bout qu’une impasse
Il n’y a que la Terre pour t’accorder sa grâce
si tu changes,
si tu t’apaises, si tu respectes, si tu protèges, si tu préserves,
si tu acceptes de n’être plus le seigneur ou le maître, mais l’humble serviteur de toute la biosphère.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.