Ils en tissent les fils.
Publié le 03 août 2025
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La poésie nourrie des quatre éléments
À coup sûr elle nous charme, car elle ne nous ment
Elle se nourrit des sources dont notre vie est faite
Alors les célébrer, ce n’est que juste quête.
En premier vint la terre, de gaz et de comètes
Substrat de toutes choses et support bien austère
La roche et le caillou, la falaise et la boue
La lave bouillonnante de son cœur, jusqu’à nous.
Le feu lui tout détruit ou tout métamorphose
Ennemi ou allié ainsi de toutes choses
Qui aime à couver dans de grands pots de fer
Qui consume la vie, mais lui est nécessaire.
L’eau sans qui rien ne vit, plante ou animal
Elle aussi fait le bien, tout autant que le mal
Qui revêt bien des formes, ou glace ou vapeur
Qui apporte la joie, ou provoque la peur.
L’air que tout être respire, l’herbe comme la bête
Où soufflent brises ou vents, zéphyrs comme tempêtes
Qui transporte les graines tout autant que nos rêves
C’est en pensant à lui, que parfois on s’élève.
Ils sont quatre sans doute à créer toutes vies
Est-ce là leur raison, ou n’est-ce que fortuit
Quelle que soit la réponse, ils en tissent les fils
Quand l’homme les détruit, lui qui en est le fils.
À coup sûr elle nous charme, car elle ne nous ment
Elle se nourrit des sources dont notre vie est faite
Alors les célébrer, ce n’est que juste quête.
En premier vint la terre, de gaz et de comètes
Substrat de toutes choses et support bien austère
La roche et le caillou, la falaise et la boue
La lave bouillonnante de son cœur, jusqu’à nous.
Le feu lui tout détruit ou tout métamorphose
Ennemi ou allié ainsi de toutes choses
Qui aime à couver dans de grands pots de fer
Qui consume la vie, mais lui est nécessaire.
L’eau sans qui rien ne vit, plante ou animal
Elle aussi fait le bien, tout autant que le mal
Qui revêt bien des formes, ou glace ou vapeur
Qui apporte la joie, ou provoque la peur.
L’air que tout être respire, l’herbe comme la bête
Où soufflent brises ou vents, zéphyrs comme tempêtes
Qui transporte les graines tout autant que nos rêves
C’est en pensant à lui, que parfois on s’élève.
Ils sont quatre sans doute à créer toutes vies
Est-ce là leur raison, ou n’est-ce que fortuit
Quelle que soit la réponse, ils en tissent les fils
Quand l’homme les détruit, lui qui en est le fils.

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