Il joue la même scène.
Publié le 03 août 2025
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Est-ce à juste titre me suis-je demandé
Si les riches existent, s’ils sont si puissants ?
Les vagues se jettent sur des plages enchantées
L’écume vient mousser en tas effervescents.
Si les riches existent, s’ils sont si puissants ?
À côté tant de pauvres pour leur quémander.
L’écume vient mousser en tas effervescents
Que la marée emporte avec le bois flotté.
À côté tant de pauvres pour leur quémander
Juste la subsistance, est-ce indécent ?
Que la marée emporte avec le bois flotté
La bas vers le grand large et le soleil couchant.
Juste la subsistance, est-ce indécent ?
De vouloir partager sans même marchander.
Là-bas vers le grand large et le soleil couchant
Le vol du goéland a l’air dégingandé.
De vouloir partager sans même marchander
Mais voilà que l’homme aime la couleur du sang.
Le vol du goéland a l’air dégingandé
Sous le clair de lune en passages incessants.
Mais voilà que l’homme aime la couleur du sang
L’envie de posséder semble le commander
Sous le clair de lune, en passages incessants
Il joue la même scène sans jamais s’amender.
L’envie de posséder semble le commander
L’autre est las l’ennemi en un mot comme en cent.
Il joue la même scène sans même s’amender
Est-ce à juste titre me suis-je demandé ?
Si les riches existent, s’ils sont si puissants ?
Les vagues se jettent sur des plages enchantées
L’écume vient mousser en tas effervescents.
Si les riches existent, s’ils sont si puissants ?
À côté tant de pauvres pour leur quémander.
L’écume vient mousser en tas effervescents
Que la marée emporte avec le bois flotté.
À côté tant de pauvres pour leur quémander
Juste la subsistance, est-ce indécent ?
Que la marée emporte avec le bois flotté
La bas vers le grand large et le soleil couchant.
Juste la subsistance, est-ce indécent ?
De vouloir partager sans même marchander.
Là-bas vers le grand large et le soleil couchant
Le vol du goéland a l’air dégingandé.
De vouloir partager sans même marchander
Mais voilà que l’homme aime la couleur du sang.
Le vol du goéland a l’air dégingandé
Sous le clair de lune en passages incessants.
Mais voilà que l’homme aime la couleur du sang
L’envie de posséder semble le commander
Sous le clair de lune, en passages incessants
Il joue la même scène sans jamais s’amender.
L’envie de posséder semble le commander
L’autre est las l’ennemi en un mot comme en cent.
Il joue la même scène sans même s’amender
Est-ce à juste titre me suis-je demandé ?

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